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[DIVERS] Re: SWG episode II




(episode I, résumé)
Quand on s'amuse à faire une évaluation dans la tête il s'agit toujours 
de ce fameux concept mathématique d'usage d'un ratio.

Episode II : L'attaque des pâles copies;

N'obtenons de rationnel que les idées et les fonctionnements.
Mais à force de procéder "forcément" il arrive de fatiguer les 
neurones, comme on a pu le voir.
Mais de rationnel n'est finalement que ce qui est relatif, si vous 
comprenez le mot relativité comme je le comprends, à savoir qu'on ne 
travaille qu'avec des concepts, et quelques constantes à la limite.

Est relatif finalement, tout concept permettant d'aboutir à ce qui est 
réel, en particulier ce qui corroborerait une mesure.
La science veut avoir la preuve de ce qu'elle voit non pas en le 
mesurant, mais en retombant sur ces mesures depuis le calcul.
Car ainsi, le réel serait compris, car reconstructible.

Mais de la relativité, les géomètres ont souvent fini par en faire, en 
dégageant ces jolis théorèmes qui ont décoré les enfouis souvenirs 
d'enfance.
Mais ce n'étaient pas que des traits et des cercles sur du papier, se 
dit-on plus tard, quand soudain apparaît la possibilité de 
"rationaliser" ou de créer un ratio entre cette géométrie enfantine et 
des concepts philosophiques intenses.
En réalité, Pythagore, Thalès Euler ou quiconque n'a jamais exercé dans 
ces domaines pour le plaisir de dessiner des traits et des cercles au 
compas ou un autre intérêt financier ou pour la joie du paraître en 
public.
Alors qu'ajourd'hui, avouer le moindre sens caché à une géométrie au 
contraire, est critiqué sévèrement afin de faire perdre toute envie, 
comme "ésotérique" (tout est dans le ton).
Il y a beaucoup à voir dans ces travaux sur la relativité.

J'appelle cela comme ça car finalement lorsqu'on dégage un principe 
relatif, c'est de la relativité. Une règle, un théorème, comme e=m.c^2 
est un théorème.
En informatique, je ne fais qu'écrire le truc que je veux obtenir, dans 
le but de l'éffacer et de le rendre relatif, et ainsi la structure né.

ça commence avec Pythagore, retenons le principe élémentaire : 3+4=5 
car 3^2+4^2=5^2. DONC 3 et 4 d'un côté font 5 de l'autre côté, c'est 
logique (pour un triangle rectangle, mais si "tout" est un triangle 
rectangle ? L'angle droit est empli de significations. Changer de 
dimension, c'est un angle droit par rapport à tous les autres, la 
tangente, le point le plus éloigné angulairement possible.)
C'est un principe d'extraction puis de réduction fusionnante. La 
mathématique de l'abstraction.

Fusionné, tout est fusionné en réalité, le temps, est en fait un peu de 
la masse-devenir, et puis cette masse pure, elle n'existe pas, elle 
contient du vieux temps, et de l'énergie dedans. Si on pense à cette 
énergie, elle contient en elle "ce" qui peut devenir temps ou masse. Il 
y a des transferts entre la masse et l'énergie, le vieil adage "rien ne 
se perd etc..." était seulement destiné à justifier quelque chose de 
sûrement illégal.

Si il n'y a pas de masse, il n'y a pas de temps non plus, ce qui est 
logique en vrai doit l'être aussi pour le raisonnement qui motive les 
calculs.

Chez Thalès, c'est aussi "la" mathématique de l'abstraction, on assiste 
à la joyeuse retrouvaille d'une donnée inconnue grâce à la comparaison 
et au traçage, et grâce à l'unique moment de magie où se faufile 
l'intelligence au travers de l'inconnu pour en extraire du 
reconnaissable.
En gros les longueurs de deux droites croisées jusqu'à l'intersection 
avec deux droites parallèles =triangle, (les dimensions sont 
parallèles) alors le rapport de distance entre l'intersection et la 
première droite, et la deuxième droite parallèle, et les longueurs des 
segments parallèles, répondent à un même ratio.
de sorte que (avec ABC triangle, DE deuxième droite parallèle pour 
faire un plus grand triangle ou un triangle de l'autre côté) alors : 
AB/AD=AC/BE=BC/DE.
Dès lors, oui et non, on connaît la position du point mystérieux.

Ces deux segments parallèles sont comme deux dimensions, deux cycles, 
et donc si on trace une droite depuis le sommet du cercle vers un 
angle, automatiquement sur l'autre droite, c'est le même angle qui sera 
concerné par cette jonction.

Le ratio à l'air antécédant à toute mesure. Toute mesure fait référence 
implicitement à un ratio.
Chaque chose possède son equilibrium.
De lui découle "les choses" autour de "la chose".

Pour rééchelonner, étalonner une mesure dans un contexte où le maximum 
est différent, on utilise le ratio entre les maximums, et on l'applique 
à "la chose".
Thalès a montré l'existence de ce ratio unique, indépendant de toute 
"chose".

Mais comment découvrir ce ratio sans comparer les choses différentes, 
les isoler, les définir, et être bien sûr qu'on utilise les bonnes ?
ça, c'est l'histoire du flottement scientifique.

En fait chaque chose est déjà en elle même un composite dont on peut 
extraire le ratio, ou l'equilibrium.
Quand on étudie une droite dans l'espace, on doit avoir un repère donc 
on dénature la droite en la rendant angulaire, afin de découvrir sa 
"raison".
Or cette droite possède son equilibrium, avant même l'emplacement d'un 
repère pour l'analyser.
Car cette droit en réalité, ne peut être qu'un composite et donc 
posséder un equilibrium qui justifie son état.

L'intérêt est que selon ma théorie, puisque la structure est fractale, 
le ratio d'une harmonique d'un objet d'un système est le même ratio que 
celui émergeant du système global. (j'avais pas encore lu Thalès en 
écrivant ça)

Ainsi s'exprime la récurrence interdimensionnelle à travers 
l'equilibrium de chaque chose en contact mutuel (dans un cosmos)

La preuve en est que... bah e=mc^2/
(j'ai dit théoriquement pourquoi)

Au prochain épisode si je suis encore vivant j'étalerai publiquement 
mon ignorance en mathématiques, d'autant plus que ça parlera d'une 
"autre" mathématique, que j'appelle dynamique ou algorithmique mais pas 
tétravalente car je ne suis pas sûr.

De là On verra des exemples de multivalence que je trouve enchanteurs 
quoi que c'est peut-être pas "ça" la multivalence mais quand même ça y 
ressemble.
Enfin, j'en suis arrivé à la conclusion que toute opération dynamique 
ne se résolvait qu'en aboutissant à la conclusion harmonique suivante : 
e=m.c^2. Aboutir à cette conclusion serait la preuve du succès d'une 
l'opération algorithmique.






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