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[DIVERS] Re: StarGateWar (feuilleton de l'été) épisode 1




// episode 1 = un fantôme n'est pas une menace


1000=50;
si 20, x= x//1000+50;
x= x divisé par la division de son pendant dimensionnel;


d'habitude on fait 1000/50 pour avoir le rapport, et / 100 pour le 
pourcentage, qu'on applique à x.
20, le rapport de 50 à 1000, ne peut être utilisée directement dans le 
calcul sans connaissance de "1000". c'est pourquoi on se réfère à la 
connaissance de "100" pour réappliquer ce ratio sans faire appel à la 
valeur initiale.
On ne peut pas utiliser zéro pour cet étalonnage, c'est dommage.

sans le pourcentage, on a besoin de la valeur absolue 50 (contraire de 
relative) et ainsi : x = x / ratio.

donc on a :
si 20, x=x/20;

(de 0 à)
1000 = maximum 1
50 = maximum 2

On a 1000 qu'on veut étalonner sur 50.
donc 500 donnera 25, par comparaison logique/
parce que 2 est le rapport de proportion.
mais ce calcul mental est magique.
(ce calcul magique est mental)

relativement,
ça veut dire qu'il faut extraire un principe qui justifie ce calcul 
pour une valeur non connue à l'avance,
la nouvelle valeur nécessite qu'on dispose à l'avance de la première, 
qui est mesurée dans la première dimension étalon. On ne peut donc 
obtenir son pendant dans la deuxième dimension étalon sans connaître le 
rapport de proportion entre les deux dimensions, et cette deuxième 
valeur (ici 500, qui doit être intérrogéé, et produire le résultat 
"25").
Donc le calcul n'est jamais relatif, il nécessite 3 valeurs fixes pour 
en obtenir une quatrième, sinon le calcul n'a aucun sens.

Or je n'ai que les maximum, 1000 et 50.
toute valeur x de 1000 vaudra dans 50 : lui-même, divisé par d1/d2.
dans l'ordre du calcul, la première valeur à obtenir est cette du 
rapport.
Ensuite on divise x par ce résultat.

On comprend ainsi qu'il faut remonter l'ordre du calcul pour saisir sa 
raison/
En effet, imaginons que je n'ai que 1000.
Alors x = résultat produit nécessitant 50, qui donne le rapport, et 
500, qui donne l'angle valable pour les deux dimensions, dont on déduit 
x.

Le fait que la vitesse du photon soit relative à notre propre 
masse/énergie, (donc que le résultat produit par le calcul nécessite 
une interaction entre les deux valeurs) efface qu'au fond ce couple de 
valeurs est lui-même relatif à un à ratio qui les affecte de la même 
manière (si ces deux valeurs sont dans "une" dimension).

Maintenant, on est obligé de s'arrêter là dans l'exploration 
interdimensionnelle, on voit que déjà, dans notre monde (=avec un ratio 
faisable) on a amplement l'occasion de retomber sur nos pattes.

C'est un "rapport" qui relie le photon et le composite masse/énergie 
qui veut rivaliser de vitesse avec lui, quand le photon lui répond 
"tout est relatif mon frère!". En effet la masse/énergie du photon 
donnant 0, 0* ce qu'on veut = 0, on peut admirer alors que le photon 
plafonne à une limite qui n'est pas tant la vitesse, que la 
signification sous-jacente par le calcul de sa non-masse.

Bref e*0 = vitesse = vitesse du photon évidemment. mais = "vitesse" = 
non masse.

Comme pour le zéro absolu, il suppose l'existence de la température, 
dès lors qu'on observe la première infime variation (cet exemple est 
moins marrant).

Non mais imaginez ce qui se passerait si on conférait la plus infime 
masse à un photon.... toute son énergie s'y déverserait, par effet 
équilibrium.
Plutôt que de les accélerer on pourrait essayer de les "stopper".
(j'ai en tête l'image stroboscopique arrêtable)

Et ensuite on comprend le pourquoi de cette intéraction masse-énergie.
En effet cette intéraction est calculatoire.
Ce qui m'a amené ici c'est la compréhension du sens logique et du sens 
calculatoire, qui sont inverses dans l'exploration de la chaîne des 
valeurs utiles au calcul.

Ainsi dans un calcul frontalement terrien car on a pas le choix, de la 
valeur énergie/masse d'un objet, le résultat dépend de sa masse, de son 
énergie, et de son rapport de vitesse, ce qui le lie en vérité (CQLL);
il faudrait connaître sa "vitesse absolue" (= un étalon pour la 
vitesse).

[note : en me relisant, en écrivant ça je ne pensais pas pouvoir 
calculer un objet ME peu d'heures après ]


On a :

e=m.c^2;
m=e/c^2;
c^2=e/m; c=sqrt e/m

c'est à dire :
G=P*M;
P=G/M;
M=G/P;
avec P,M,G = petite, moyenne et grande valeur.
ces valeurs sont elles mêmes des étalons dans leur dimension (le kilo, 
le Km/h), et on fixe ainsi sans le savoir la limite de l'univers.
Mais ici, elles sont étalonnées entre elles, selon un principe 
récurrent.

Ce sont littéralement 3 dimensions qui se composent mutuellement.
Le temps, est une dimension de la vitesse, composée avec l'espace.
Ainsi masse, énergie et "espace/temps" sont trois valeurs qui se 
contiennent l'une l'autre.

En réalité, e=mc^2 est magique car la chaîne logique et donc 
calculatoire dans l'autre sens que ça implique, est cyclique.
C'est notre petit monde;

36=4*3^2;
4=36/3^2;
3^2=36/4;



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