[Date Prev][Date Next][Thread Prev][Thread Next][Date Index][Thread Index]

[DIVERS] lettre H-32




Bonjour!

[NM]
 >> Les oummains ont toujours fait preuve d'une volonté de désambigüation
 >> en donnant des "traductions" des mots oummains qu'ils utilisaient,
 >> tant dans les lettres espagnoles que dans les lettres françaises.
 >> Lorsqu'ils ne pouvaient ou ne voulaient pas désambigüer, ils ont
 >> indiqué "intraduisible" ou l'équivalent.

[JP]
 > Cette affirmation est dénuée de tout fondement. J'ai observé les
 > vocables "oummains" de près et ça fait maintenant depuis plus de 10 ans...
 > Je n'ai pas fait la statistique des "traductions" fournies, je la ferai,
 > mais j'affirme
 > - que les vocables oummains ne reçoivent pas tous un équivalent dans la
 > langue de la lettre, (par exemple aucun des noms d'oummain ni aucun des noms
 > de lieu, en plus de certains vocables communs)

Je ne considère pas les noms comme des mots sui exigent traduction (désolé,
je suis un terrien et je n'ai pas l'habitude de traduire mon nom par "vieux
moulin" et mon prénom par "homme du nord" quand je signe une lettre ou quand
je me présente - je ne m'attends pas non plus à ce qu'un visiteur étranger
traduise son nom).
Pour les vocables communs, j'ai remarqué qu'ils sont "traduits" (j'ai mis
des guillemets!) lors des quelques premières utilisations, puis qu'ils
cessent de l'être lorsque le vocable est devenu commun.  L'intention
pédagogique est évidente.

 > - que lorsqu'une indication est donnée, il s'agit d'une équivalence
 > conceptuelle et non d'une traduction, même si le texte comporte "peut être
 > traduit par", dans lequel il ne faut pas oublier que le "peut" n'évoque
 > qu'une possibilité...

C'est exactement pour cela que j'ai mis le mot "traduction" entre guillemets:
je sais bien qu'il ne s'agit pas de translittérations mais d'une explication
appropriée à l'usage de ce vocable à cet endroit.  Je ne m'attends pas non
plus à ce que des traductions (sans les guillemets) soient possibles entre
des langages basés sur des schémas aussi différents.

 > - que l'indication d'intraduisible n'apparaît que de rares fois...

Ce qui est tout-à-fait approprié, vu l'approche pédagogique d'apport
progressif de nouveaux vocables couvrant de nouvelles idées.

 > Quant à reconnaître une volonté de désambigüation, je pense que c'est
 > dépasser les indications données. Ce qui peut contribuer à faire
 > comprendre, ce sont les explications données dans le contexte.

C'est exactement cela, désambigüer: donner des explications appropriées
au contexte, non?

Je vois que nous sommes parfaitement d'accord à ce sujet et je ne comprends
pas ce qui te fait écrire "Cette affirmation est dénuée de tout fondement".
Peut-être que nos différences culturelles ont constitué ici un obstacle
trop grand à notre compréhension mutuelle, ou peut-être l'anglo-faune que
je suis n'est-il pas arrivé à s'exprimer de façon compréhensible en français?

[NM]
 >> Cette lettre-ci (H-32) est la seule exception: les mots ne sont pas
 >> traduit, de sorte que la signification exacte du message est très
 >> largement laissée au hasard de l'interprétation libre - exactement
 >> l'inverse de toutes les autres lettres connues!
 >> (...)
 >> Ceci laisse aussi supposer que l'auteur est à l'aise dans les discours
 >> ambigüs, donc un humain plutôt qu'un oummain.

[JP]
 > Cher ami Norman, que penseras-tu devant un discours véritablement
 > tétravalent, dans lequel tu pourras trouver des évocations "qui sont et qui
 > ne sont pas" ?

Il est facile de distinguer une ambigüité (c-à-d: un "flou" plus ou
moins artistique masquant l'ignorance ou la vacuïté) d'une valeur logique
comme un terme médian (vrai-et-faux) ou un terme tiers (ni-vrai-ni-faux).
Désambigüer revient dans ce cas à utiliser les termes appropriés, comme
AIOOYA AMMIE WOA au lieu de "WOA existe", par exemple.

 > Ce seront des contradictions ou des indications à traiter dans un contexte
 > tétravalent ?

La distinction me semble évidente, vu la volonté pédagogique transparente
dans les textes oummains (la NR20 en est l'exemple parfait - tu noteras
que je n'ai pas écrit "le paradigme" parce que ce mot n'est pas approprié
dans ce contexte).

 > Je n'oublie personnellement pas que, dans cette affaire UMMO, nous sommes en
 > situation de "rats de laboratoire" (qui n'apprennent pas vite), et même de
 > possibles "pigeons"...
 > Cette lecture de l'ambiguité est, pour moi, une lecture aristotélicienne,
 > binaire, à volonté de trancher.

Je vois que tu ais lu ce mot dans un sens aristotélicien, et tu m'en vois
sincèrement désolé.  Mets l'usage de ce mot sur mon anglo-faunie native et
considères que je voulais dire "préciser le sens de façon qu'on sache
comment interpréter" plutôt que "indiquer lequel de deux sens s'applique".

Y-a-t-il en français un autre mot que "désambigüer" pour remplacer la
périphrase "préciser le sens de façon qu'on sache comment interpréter" ?
Je l'adopterai dès qu'on me l'aura signalé.

En attendant, je suis triste de voir que je n'avais pas réussi à me faire
comprendre de façon non-ambigüe (je veux dire ici: de façon univoque).

C'est plus clair, là ?

[JP]
 > Cette lettre n'est donc pas "la seule exception", puisque le cas est
 > courant.

Comme indiqué plus haut, elle reste seule exception, avec au moins un mot
nouveau, peut-être plus, sans aucune "indication servant à faire comprendre
l'idée exprimée dans ce contexte" (c-à-d: "traduction" ou "désambigüation",
vu que je n'ai pas d'autres mots pour transmettre ces deux idées).

 > Par ailleurs, rien ne nous interdit de faire le lien avec les indications
 > des autres lettres dans lesquelles on trouve quelquefois un équivalent
 > conceptuel. On est alors en mesure d'apprécier (ou non) l'adéquation du
 > terme "oummain" avec son contexte dans la H-32.

Très facile pour les "mots nouveaux" de la H-32, je dois dire...  :^(
Tu as oublié qu'il y en avait ?

 > L'absence d'indication d'équivalent conceptuel est donc un très bon moteur à
 > rechercher dans les autres documents.

Exercice futile dans le cas des "mots nouveaux", non?

[NM]
 >> En fait, la traduction de YUYISAA dans les lettres, c'est "petite
 >> collectivité isolée" et celle de AYUYISAA c'est "état" ou "structure
 >> politique de notre réseau social".

 > [JP] La première affirmation est fausse.

Possible.  Je l'ai pêchée dans un CDROM intitulé
    UMMO - De vrais extraterrestres! - Troisième partie
à l'entrée YUYISAA dans le dictionnaire alphabétique.

Il y avait là une explication trop complexe pour ma petite tête de blocke
au sujet d'une possible confusion avec un autre mot plus long, suivie de
ce que j'ai cru, naïvement, être l'analyse du mot YUYISAA par un de mes
amis très érudit en cette matière et que j'estime énormément.
La mention du texte original était justement "petite collectivité isolée"
mais j'ai été stupide: n'ayant pas compris l'explication sur le CDROM, je
n'ai pas pensé à vérifier sur le site ummo-sciences, j'y aurais découvert
que le mot a été corrigé pour INAYUYISAA, ce qui m'aurait permis d'enfin
comprendre l'explication du CDROM et donc de découvrir que YUYISAA est un
"mot nouveau" bizarrement offert sans explication dans cette lettre.

Tu me vois désolé d'avoir ainsi prouvé que j'étais faillible. comme tout
le monde.  :^(

 > Le vocable YUYISAA trouvé dans la littétrature est une erreur de recopie,
 > par Ribera (p41) pour INAYUYISAA  (T1-73) D72, qui avait pour équivalent
 > indiqué "petite collectivité isolée". Vocable convenablement recopié par
 > Aguirre (Tome II page 11)
 > Donc le vocable YUYISAA n'a jamais existé dans les lettres précédant cette
 > H-32, il est ici "nouveau" avec une explication qui correspond très bien
 > avec les deux autres vocables qui en dérivent : AYUYISAA et INAYUYISAA.
 > C'est, pour moi, plutôt un argument de cohérence...-:)

Et pour moi un argument d'incohérence: un "mot nouveau" sans explication.

[NM]
 >> Le A de AYUYISAA a donc ici pour fonction de "réaliser" (au sens de
 >> rendre réel, tangible) ce qui le suit.  En effet, une collectivité
 >> un réseau social) c'est une idée (elle n'existe que dans la conscience
 >> des gens), alors qu'une structure politique (un état) c'est la réalité
 >> vérifiable qui correspond à cette idée (la réalisation de cette idée).

[JP]
 > Dans les documents, on trouve "réseau social" en face de AYUYISAA.
 > J'aimerais bien avoir le commentaire des auteurs sur ton affirmation que le
 > "réseau social" n'est qu'une idée. Tu sembles oublier les hommes (ces noeuds
 > du réseau ne sont pas des "idées") et la réalité de leurs liens
 > (relations)...

Comme tu viens de me montrer que ce mot ne signifie pas ce que je pensais
qu'il signifie (et qu'en fait nous en savons même pas ce qu'il signifie ni
même si ce mot est utilisé par les oummains), mon analyse du A de AYUYISAA
n'a forcément plus aucune signification.
Je pense que nous devrions être d'accord là-dessus, non?

 > Le document H-32 dit explicitement "ébranlant un à un la multitude de
 > YUYISAA composant l'AYUYISAA global de notre monde." On comprend dès lors
 > que les YUYISAA ne sont que des "sous-ensembles" sociaux du tout qu'est
 > l'AYUYISAA.

C'est le Y qui marque la fonctionnalité "ensemble" dans les soncepts,
que je sache, pas le A.

 > Sans pouvoir faire plus de commentaires. Le "tout" est présenté
 > ici comme la réalité ou l'effectivité (A), la réalité fonctionnelle (A) des
 > YUYISAA. On le retrouve d'ailleurs dans INAYUYISAA, les soncepts IN
 > exprimant le caractère "expéditionnaire" ou "transplanté".

Le INAYUYISAA ne fait pas de difficulté, mais tu remarqueras que le A
s'y trouve bien que ce ne soit pas la totalité de la société oummaine
qui ce soit déplacée.  J'analyse ce mot comme IN-AYUYISAA et toi?

[NM]
 >> Les lettres espagnoles indiquent que AIOOYA AMMIE WOA signifie "Dieu
 >> existe hors du WAAM" et la logique tétravalente permet de comprendre qu'il
 >> s'agit d'une existence en dehors de la réalité vérifiable, donc certainement
 >> pas traduisible par "Dieu est".
 >> Les 4 valeurs de la logique tétravalente seraient traduisibles avec
 >> le verbe "être" comme ceci:
 >>    AIOOYAA  - - -          "- - - est"
 >>    AIOOYEEDOO - - -        "- - - n'est pas"
 >>    AIOOYAU - - -           "- - - à la fois est et n'est pas"
 >>    AIOOYA AMMIE - - -      "- - - ni est ni n'est pas"
 >>
 >> En écrivant ici "WOA est" au lieu de "WOA à la fois est et n'est pas",
 >> l'auteur de cette lettre montre clairement qu'il ne connaît pas le
 >> dossier UMMO en profondeur, qu'il n'en a qu'une connaissance très
 >> superficielle.  Ce n'est donc pas un oummain.

[JP]
 > Je ne serais pas aussi affirmatif que toi, cher ami Norman.
 > Car on trouve dans le D43 (T6-11) un TAAU 2 qui contient, entre autres,
 > "Et ne dites jamais: WOA FUT:  ou WOA SERA:  dites toujours WOA EST."
 > Alors qui a une méconnaissance en profondeur du dossier ? L'auteur de la
 > H-32 ?

Réponse: l'auteur de la H-32 ne connaît clairement pas le dossier.

Je connais fort bien la D43 et ce TAAU 2 qui exprime l'intemporanéité
de WOA (exposée aussi ailleurs dans les lettres).
Après la D43 on a eu la NR20, après laquelle nous sommes supposés savoir
différencier AIOOYAA, AIOOYEEDOO, AIOOYAU et AIOOYA AMMIE, non?
La H-32 nous est parvenue après la NR20, non?
Dans ce cas comment l'auteur de la H-32 peut-il utiliser un mot français
essentiellement flou et polysémique alors que ses coplanétariotes nous
ont enseigné le mot oummain monosémiques approprié (AIOOYA AMMIE) et sa
signification ?

C'est une incohérence.

L'auteur de la H-32 n'a pas lu les lettres NR et certainement pas la NR20.

Amitiés,
           Norman.

===========================================================
Liste de diffusion UMMO "DIVERS" (Tout ce qui n'entre pas dans les 4 autres listes).
Pour envoyer un message: soit fonction "répondre", soit 
mailto:ummo.open@ummo-sciences.org
Soumis à la charte: 
https://www.ummo-sciences.org/nvle_charte.htm
Archives de la liste: 
http://archives.ummo-sciences.org/ml/ummo.open-AAAAMM/maillist.html ( en remplacant AAAA par l'année et MM par le N° du mois)
Pour se désinscrire : 
mailto:ummo.open_request@ummo-sciences.org?subject=unsubscribe
===========================================================