[DIVERS] [D57-2][arrivée sur Terre] Encore des incohérences...

["prenom nom" <n_prenom@hotmail.com>]

Bonjour,

Je regardais tout récemment pour mon boulot une photo satellite de l'Europe 
la nuit, utilisée afin d'illustrer à partir de l'intensité lumineuse le 
niveau de développement des différents pays. Des photos similaires pour la 
Terre entière sont encore plus belles et révélatrices 
(http://nssdc.gsfc.nasa.gov/planetary/image/earth_night.jpg)

Cela m'a fait repenser aux lettres décrivant le premier contact des Ummites 
avec la Terre, et en particulier a la scéance de debriefing sur Ummo qui 
suivit leur premier survol de la Terre (D57-2), afin de préparer le second 
voyage (avec atterrissage):

"Un second point qui fut très débattu fut celui de la zone la plus apte 
parmi celles explorées pour la descente de nos frères. Il devait s'agir 
d'une zone dépeuplée, mais non désertique car sinon tout contact prudent 
avec les habitants aurait été impossible.

Ceci, de votre point de vue, parait très simple car il suffisait apparament 
d'éxaminer les UULAYA (Images captées) topographiques et ensuite de 
sélectionnner un environnement géographique semi-sauvage. Mais nous 
ignorions à cette époque si les hommes de la Terre vivaient dans des 
"fourmillières" souterraines. N'oubliez pas que nous, nous concentrons les 
villes et les constructions à l'air libre uniquement quand il s'agit de ce 
que vous appelez zones industrielles. Pendant que le reste vit dispersé dans 
les XAABI ( maisons émergentes) qui peuvent se replier sous terre. De plus 
d'autres planètes habités concentrent les êtres humains dans de grandes 
colonies souterraines. En était-il de même pour cette Ayaggaa ( Planète 
Terre) ? Les constructions que nous savons aujourd'hui correspondre à vos 
maisons ont été identifiées au début comme étant des usines."

J'avais deja mentionné ma perplexité sur ces points, le coeur de l'Europe ne 
satisfaisant pas ces critères. Cette photo l'illustre à merveille. Mais plus 
encore, elle montre que leur raisonnement sur d'hypothétiques habitations 
souterraines terrestres ne tient pas la route: on voit du premier coup 
d'oeil les concentrations de population (notamment le long des côtes, des 
lacs et des fleuves, le cas du Nil étant flagrant), avec les grandes villes 
y compris sur les iles. On voit immédiatement les déserts, chauds (Sahara, 
Rub Al Khali, Outback australien, désert de Gobi) ou froids (le hielo 
patagonico, la Sibérie, le Grand Nord canadien, le Groenland, l'Himalaya), 
et les forêts denses (Amazonie, coeur de l'Afrique noire). Il suffit de 
corréler avel les températures et la végétation pour comprendre que c'est 
lié à des conditions de vie, et non à d'hypothétiques centres industriels 
(qui n'ont au passage aucune raison d'être spécialement éclairés la nuit).



Toujours dans cette lettre, un autre point qui ne m'avait pas encore frappé: 
la durée de leurs observations - "Durant les 86 UIW (Ndt:4 h 25') que dura 
l'analyse..."

Ils précisent que malgré la qualité pas toujours optimales des données 
recueillies, ils durent rentrer: "A cette époque il fut impossible d'étendre 
l'intervalle d'exploration si vous l'on voulait revenir sur notre "UMMO" 
avant que les conditions ISODYNAMIQUES de l'espace ne reviennent à une phase 
défavorable".

Précisons qu'au préalable, ils avaient visité Neptune et Mars, a priori 
rapidement puisqu'ils avaient constaté que ces planètes étaient inhabitées 
et ne pouvaient donc être à l'origine du signal qu'ils avaient capté sur 
Ummo (le fameux message du navire norvégien). En outre, ils avaient captées 
alors d'autres émissions : "Durant l'exploration de Neptune on avait déjà 
reçu une grande gamme d'émissions radioélectriques de la Terre qui permit à 
nos frères d'identifier cette Planète. La présence de vie supérieure sur 
celle-ci était donc évidente", donc il semble raisonnable d'estimer qu'ils 
ne perdirent pas trop de temps à explorer Neptune et Mars.

Je trouve donc pour le moins étonnant qu'ils aient fait 28 AL à la recherche 
d'un message intelligent pour ne rester que 4h30 à en observer la source. En 
tous cas, cela voudrait dire que leur dépendance aux conditions 
"isodynamiques" de l'espace est extrêmement contraignante. Ce qui m'étonne 
aussi, c'est qu'ils nous disent à d'autres endroits que ces conditions ne 
sont pas faciles (et même pas possibles je crois) à prévoir avec précision: 
"Mais ces ondulations ou plis de l'espace sont apériodiques, ils ne 
subissent pas une loi déterminée. On peut les prévoir à court terme mais 
avec de grandes marges d'erreur. Par exemple en ce moment (janvier 1967) 
nous savons que l'un de ces intervalles favorables approche; (la marge 
d'erreur s'étend de décembre à mars des deux années 1966-1967)." D57-1

Ils auraient donc pris le risque d'envoyer 2 vaisseaux avec 24 personnes à 
bord pour un tel voyage, en ne disposant que d'une fenêtre d'observation de 
quelques heures sur place ?! Et comment pouvaient-ils estimer cette fenêtre 
aussi courte si la marge d'erreur de leurs prévisions est telle ?

Avis bienvenus !

Cordialement,

Nprenom

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