[DIVERS] Chers amis souscripteurs,

["Costagliola Jacques" <jcostagliola@free.fr>]

 Bonjour, 1. Ce n'est pas seulement la présence d'ovnis et d'aliènes sur Terre, qui est ostracisée, mais aussi dans l'atmosphère terrestre et pour des atterrissages furtifs. 

2. Mais cela bouge puisque le programme seti a commencé à rechercher des messages et des traces d'aliènes dans le système solaire, et pas seulement sous la forme d'ondes radio.

3. Il y a des exemples de scientifiques ayant mené une double carrière, classique, correcte, et ovniste, incorrecte, sans que cela ait nuit le moins du monde à leur carrière et leur crédibilité : Guérin, Vallée, von Ludwiger, Sturrock, Louange et même Hynek.

4. Il est vrai qu'il est impossible de publier  «des résultats de  recherche...  globalement positifs, SERIEUSEMENT ETABLIS, »  dans la littérature de l'Établissement ; Petit et Bounias l'ont fait mcela leur a coûté cher. Par contre d'autres l'ont fait dans des livres tous publics  et  dans des articles partout où  ils pouvaient. 

5. Ces écrits fourmillent de preuves de cette présence, preuves statistiques, formelles, physiques, tangibles : (fragments exotiques, implants de Leir, pistes radar, agroglyphes, carittages complexes de Marliens, métabolisme des plantes aux racines brûlées, photo automatique de Costa-Rica, un ovni filmé simultanément par quinze caméras indépendantes et éloignées lors d'une éclipse de Soleil à Mexico !!!  preuves qui laissent les scientifiques et les autorités impavides. Seul compte ce qui est dans Science et dans  Nature. 
Un atterrissage de 12 disques sur les Champs tout un dimanche, On en parlerait plus une semaine plus tard. La capacité de l'Établissement à amortir les preuves de l'ovni par la désinformation, l'ironie ou le silence, est infinie.  
On peut relativiser le danger. 
Cordialement.
JC


 Bonjour à tous, 

  Voilà pratiquement 30 mois (deux ans et demi) que je me suis consacré à la recherche qui 

  nous tient tous à cour.L'heure est donc à un petit bilan. 

   

  Je commencerai par évoquer, en trois points, l'environnement du cas. 

  1. Il est clair que cette recherche est « proche », bien qu'indirectement, des préoccupations « ovni's » ou « E.T. sur Terre » via l'affaire Ummo que l'on peut y rattacher. 

  Ma motivation principale a été de vérifier si une affirmation développée sur des dizaines de pages de documents « Ummo » est une réalité scientifiquement constatable avec les moyens techniques de notre niveau de développement. 

  Nous savons d'autre part que tout ce qui touche de près ou de loin, ou est même seulement susceptible de toucher, la problématique des « ovni's » ou « E.T. sur Terre » est mal venu dans la pensée politique globale et unique actuelle : le constat scientifique d'existence de tels engins serait la fin de la crédibilité des forces aériennes censées nous protéger et du personnel politique qui les missionne et donc les soutient. L'Armée de l'Air américaine a fait ce constat entre 1945/1946 et 1950 et a décidé que la seule « parade », pour sa propre crédibilité, était la négation de toute émergence de la possible réalité. Depuis, cette attitude tient lieu de ligne de conduite à tous les militaires et politiques de tous les pays : pas question de reconnaître quoi que ce soit, quels que soient les faits !

  Et si des gens s'aventurent à tenter de prouver, les médias, qui ont épousé en très grande majorité la cause des politiques, se chargent de faire passer ces gens pour de doux dingues. Et si ces « doux dingues » s'obstinent en apportant des preuves réelles, « on » ne veut pas les voir, ni les entendre, et « on » peut aller jusqu'à les réduire au silence ou, au moins, à l'inefficacité de leurs tentatives pour informer.

  Si les résultats de la recherche en cours devenaient globalement positifs, SERIEUSEMENT ETABLIS, il serait « dangereux » (pour la reconnaissance de leur réalité) d'en faire état publiquement, sans précautions, pour les raisons exposées ci-dessus (possible lien, même ténu, avec la problématique « ovni's » ou « E.T. sur Terre »).



  2. Si une recherche est menée, ce n'est pas non plus pour que ses résultats restent « secrets »,  lettre morte, ou l'apanage de quelques-uns, au moins dans le domaine de mon activité de recherche actuelle. Se pose alors la question de la forme ou de la manière de communiquer.C'est ici que vient s'ajouter la question de mon pseudonyme. Non pas son contenu, bien sûr, mais le fait de l'existence même d'un nom d'emprunt.. Si je veux décrédibiliser moi-même de possibles résultats, je n'ai qu'à tenter de les publier sous mon pseudonyme (pratiquement impossible, heureusement, quand on sait comment la communauté scientifique et le système des publications fonctionne..)

  Si une publication doit avoir lieu, elle implique forcément d'être faite sous un ou des noms de chercheurs qui n'ont aucun lien avec la problématique « ovni's » ou « E.T. sur Terre », et donc à  priori respectables.  



  3. A cet état de choses s'ajoute l'attitude de certains « chercheurs autour des ovni's » dont la volonté d'existence médiatique ne se préoccupe surtout pas des conséquences de leurs prises de positions publiques : ayant une idée très personnelle, à l'évidence non éthique, de la confidentialité (sauf pour ce qui les touche directement, évidemment), ils se moquent du travail des autres, lequel ne peut servir que de tremplin ou de faire valoir à leur discours, surtout si cela implique, à leurs yeux, de torpiller tout travail qu'ils évaluent comme concurrent. 

  Cette situation suggère d'abandonner maintenant toute « existence » publique (donc plus ou moins « médiatisée » par la faute de certains) des projets ou recherches potentiellement sensibles [« ovni's » ou « E.T. sur Terre »], c'est-à-dire au moins toute communication sur ceux-ci.   



  Le cas lui-même. 

  Vous avez été les premiers à soutenir matériellement le projet qui vous a été proposé et votre contribution a été collectivement fondamentale. Le développement du projet, en volume et dans le temps, a naturellement nécessité d'autres contributions, plus amples, mais votre apport a été la clef. 

  Soyez-en une fois encore remerciés. 

  Sachez en tout cas que si la recherche continue, ce n'est pas sur des bases négatives. J, mais elle va être encore longue (probablement nettement plus d'un an encore.), assez, en tout cas je l'espère, pour qu'on l'oublie.

   

  La décision.

  Il est donc temps que Jean Pollion  "disparaisse" de cet aspect du dossier auquel nous nous intéressons, et par là même, sa communication. De manière à couper, autant qu'il est encore possible, tout lien, fut-il même indirect, voire supputé, entre de futurs possibles résultats et la mouvance « ovni's » ou « E.T. sur Terre ».

  Je comprends la fierté que certains avaient pu placer dans le fait que leur nom fasse partie du panel contributeur, comme il est de règle dans les publications scientifiques, et je conçois maintenant leur déception. Le traitement égalitaire de tous les souscripteurs exige que tous les noms figurent également. Or certains d'entre vous ont laissé et laissent encore des traces médiatiques, ou au moins publiquement accessibles, dans la problématique « ovni's » ou « E.T. sur Terre ». Ce n'est pas un reproche.

  Leur nom ne doit donc pas apparaître, par prudence, et le traitement égalitaire, éthique, conduit ainsi à malheureusement prévoir de ne plus mentionner aucun individu. 

  L'important est bien que chacun puisse se dire, in fine, qu'il a fait partie des contributeurs initiaux à ce fabuleux projet.  

   

  Je suis ainsi au regret de vous dire que je ne communiquerai plus sur la recherche de certain gaz rare autour des chromosomes. Seules les voies de la Science officielle peuvent accueillir des résultats.  

   

  Vous saurez certainement un jour le fin mot de l'histoire, mais il faut d'ores et déjà vous armer d'encore beaucoup de patience..

  Encore merci à vous ! 

   

   

  Bien à vous,                        Jean Pollion 

   

  PS : Je remercie d'avance l'un ou l'autre de nos amis espagnols comprenant le français de bien vouloir traduire ce message à l'attention de Javier Fraile. Merci d'avance. 

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