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[DIVERS] [tetravalence] contrebalancements
Dans la tétravalence les deux autres termes sont le terme médian et le terme
tiers.
Les deux premier alors, peuvent s'appeler les termes qui constitutionnent ou
anticonstitutionnent la proposition.
Le quatrieme terme, le terme tiers, parle de ce qui n'a rien à voir avec la
proposition mais qui est totipotent de sa construction;
le terme médian, c'est ça que je viens de comprendre-tout-seul, est un terme
qui parle de ce qu'il y a de commun aux termes opposables, c'est à dire ce
en quoi ils sont et:ou ne sont pas opposables. C'est la voie du dégagement,
non pas une solution symétriquement intermédiaire comme le laisse croire la
tache de couleur orange entre la rouge et la jaune, mais leur combinaison.
Leur combinaison est comme de s'en servir d'ingrédients; de les composer, ou
reconsidérer.
Là où c'est pertinent c'est que le terme médian et le terme tiers ne peuvent
quasiment etre differenciés que par l'ordre dans lequel ils ont été créés,
(antre des confusions) le bleu foncé comme couleur de fond, subit des
transformations qu'il rend jaune et rouges, puis de leur synthèse apparaît
le orange ; qui est le négatif du bleu foncé.
on voit alors la logique qui rend oppsables le rouge et le bleu, si par
construction et par synthèse leurs résultats sont eux aussi des opposables
(des negatifs).
*
ainsi il est possible de fractaliser une opposition, en la considérant comme
unité, afin de voir avec quoi elle se contrebalance.
en psychologie c'est sûr que ça a des applications, de voir avec quoi se
contrebalance une communauté de facteurs, d'ailleurs c'est de leur
judicieuse combinaison que se fait un diagnostique (d'ailleurs c'est
facilement instinctif)
le plus logiquement du monde si on refait une deuxieme fois la même
fractalisation, avec comme unité la communauté de facteurs tiers et médian,
(allez je l'ecris comme je le pense) on doit retomber sur nos pattes mais à
l'octave suivant c'est à dire la mise au carré du terme initial (le meme
terme mais enrichi de savoir).
*
(ancien texte)
La tétravalence semble pouvoir se dire comme une façon de considérer le
réel, qui bien que n'étant jamais crue comme étant "la" façon dont
fonctionne la nature, par rapport à la logique bipolaire d'aristote mais à
mon avis il n'et pas le seul à avoir succombé à cette tentation (je
l'appelle bipolaire pour laisser imaginer combien son ancrage dans la
psychologie fait justement croire que c'est ainsi que tout fonctionne, par
compensations illicites, et peut ressurgir de façon à faire naître toutes
formes de dislocations).
C'est ce en quoi je suis tenté de voir la tétravalence comme un savoir
salvateur pour la compréhension du monde, faire naître un nouveau paradigme,
et au fond, une nouvelle paix intérieure.
On a noté qu'au moins cette logique n'a jamais été vraiment expliquée
clairement, bien que de nombreuses choses y fassent référence, jusqu'au
nombre des élus au gouvernement ummoaelewe ; ça aussi ça n'a jamais été dit
explicitement mais on se l'imagine... D'ailleurs c'est intéressant de tracer
un chemin entre ces deux points
Mais ça semble aussi un savoir qu'il vaudrait mieux comprendre par soi-même,
afin de surpasser les ancrages de la réflexion consciente, que la logique
tétravalente veut justement reconsidérer pour pouvoir etre acceptée ; et
elle doit se débattre, contre les défenses psychologiques qui protège ses
illogismes, pour aller résoudre ces illogismes.
La première méthode va vouloir puiser dans l'obscur l'énergie trampolinique
qui va le propulser vers la lumière. Alors du coup par exemple la souffrance
est considérée comme faisant partie de l'équilibre. Ce qui est vrai
seulement dans ce particulier équilibre, qui sans le savoir est mit en
correspondance avec d'autres existants, donc ça veut dire que sa façon de
penser a trop de "jeu" (en mécanique c'est quand ça bouge) pour finalement
être le reflet du discours de l'âme. et surtout ça veut dire que la logique
de la nature, au fond, n'est pas celle qu'on croit, ce qui permet d'amorcer
une réflexion.
Ce qui est un bon exercice pour l'intégration future du nouveau paradigme.
Ensuite ce qui est découvert ne doit pas à son tour rester figé, ce qui
donne une nouvelle compréhension de ce qu'on croyait savoir.
ce qu'on comprend après coup a tendance à se projeter sur la façon dont on
le voyait avant. ça reconditionne même la mémoire de ce qu'on voyait,
puisqu'on accède à cette mémoire comme à des micro souvenirs rassemblés par
notre psychologie du moment. C'est aussi la même chose qui arrive quand on a
un déjà vu, quand apparait une coïncidence où finalement il n'y a qu'une
seule chose, ce qu'on a vu et ce que ça a évoqué (lui-même dans le cas
présent). Car du coup on fait abstraction du temps qu'on a mit à le
percevoir entièrement, et d'ailleurs ce temps est reconsidéré tel un travail
de remémorisation. La partie réflective est occultée, en fait la façon dont
on a réflechit à ce moment-là; est occultée et difficilement penetrable.
A une troisième échelle on aura l'impression d'avoir vécu un événement
d'après la façon qu'on a eu d'y penser après ; le moment où un phénomène est
le plus pleinement vécu est celui où on y pense le plus. au fur et a mesure
que grandit la conscience de ces dimensions simultanées le temps
d'apparition du pic de conscience est de plus en plus court (et puissant).
cette façon de créer ce relief, pour sortir du blocage oui-non, n'est pas
vraiment la tétravalence mais un de ses concepts à mon avis. Déjà ça
voudrait dire que le concept peut apparaitre de multiples façons. Ici
(c'était le but de ce mail) on peut toujours considérer ensemble deux
parties opposées pour laisser supposer ce avec quoi ça s'équilibre à son
tour. Par exemple les non-contradictions laissent supposer une pensée qui
fonctionne harmonieusement (terme médian). Mais cet ensemble peut à son tour
être contrebalancé par plusieurs théories.
le groupe oui-non forme une entité, batisée ensuite soit oui soit non, comme
en relation avec un nouveau contrebalancement, situé à 90° par rapport aux
premiers.
Dans la pratique ça consisterait par exemple à voir ce qui unit des
situations de conflit, et sans faire exprès la considération qu'on a de ce
conflit. donc au quatrième 90° le point de départ n'est plus que virtuel. Il
faut ces 4 pôles pour avoir 4 fois 90° soit un cercle.
peut etre alors que seules les proportion angulaires de ces 4 90° font
tendre vers 100% le choix vers oui-non, le second angle étant tangent, les
premiers devant s'aligner sur le quaternaire envisagé initialement. là ça
mérite un petit dessin
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