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[DIVERS] virus psychologiques
Ci-dessous un excellent article sur la façon dont les virus
psychologiques fonctionnent :
Les virus de la pensée
par Robert Dilts
Une des présuppositions fondamentales de la PNL est que "la carte n'est
pas le territoire". Nous obéissons à des cartes mentales construites à
partir de nos perceptions sensorielles de la réalité plutôt qu'à la
réalité actuelle. Ce sont nos cartes "neurolinguistiques" de la réalité,
et non la réalité elle-même, qui déterminent et donnent un sens à notre
comportement. Les gens qui pensaient que la Terre était plate n'ont
jamais même penser voguer autour d'elle. Ainsi, c'est souvent notre
carte du monde plutôt que le monde lui-même qui nous limite ou
inversement nous confère du pouvoir. Les cartes sont différentes d'une
personne à l'autre selon leurs antécédents, leur société, leur culture,
leur entraînement professionnel et leur histoire personnelle.
Une des choses que j'ai apprise en travaillant dans le secteur de la
santé, c'est que les gens ont des cartes sur ce qui est possible dans la
guérison physique, ce qu'est la guérison, et qu'ils vivent selon ces
cartes. Quelquefois, ces cartes peuvent être très contraignantes.
Par exemple, les gens parlent parfois des symptômes physiques associés
au cancer ou au SIDA comme s'ils en étaient « possédés ». Même les
médecins attribuent à ces symptômes des qualités telles que
l'intelligence ou une volonté propre. La population dit que le cancer
"invalide" le corps et parle de la façon dont le virus du SIDA "dupe" le
système immunitaire et "utilise" le corps des malades. J'ai déjà entendu
des oncologues parler de "la personnalité propre" qu'avait le cancer du
sein chez différentes patientes. Quelques-uns sont "plus agressifs",
d'autres sont "plus bénins". Ces exemples sont des choses que l'on
entend souvent comme si elles étaient des caractéristiques inhérentes au
symptôme.
Par exemple, en considérant la longue rémission de ma mère suite à un
cancer du sein, un de ses oncologues a commenté :
"Mais votre cancer s'est comporté d'une façon très amicale". Plutôt que
de croire que la personnalité du patient ou ses capacités de guérison
ont eu de l'effet sur les symptômes, la rémission est perçue comme si le
corps du malade était complètement passif, et comme s'il était "possédé"
par des symptômes de personnalités différentes. Apres avoir entendu
l'oncologue expliquer à ma mère que la raison pour laquelle la
chimiothérapie ne l'avait pas guérie était que le cancer aurait
éventuellement trouvé un chemin pour "s'évader" des drogues, ma mère a
plaisanté, ajoutant :
« Il parle de ces cellules comme si chacune d'entre elles était plus
intelligente qu'un rat de laboratoire. » Ces genres de cartes et de
croyances déterminent le processus que nous prévoyons pour guérir de
tels symptômes. Par exemple, si nous percevons quelque chose comme étant
un envahisseur extérieur doté d'une intelligence et d'intentions
négatives, nous croirons qu'il doit être physiquement attaqué et détruit.
Quand ma mère a découvert qu'elle était atteinte d'un cancer du sein
"métastasé" et qu'elle a commencé à explorer ce qu'elle pourrait faire
afin d'aider mentalement sa propre guérison, son médecin lui a dit que
tous ces trucs à propos de la guérison corps-esprit étaient un paquet
d'inepties et que cela ne pouvait que la rendre folle.
Cette sorte de croyance, surtout si elle est présentée comme la carte
juste du monde, peut devenir ce que j'appelle un virus de la pensée. Un
virus de la pensée est essentiellement une croyance contraignante qui
interfère avec les efforts des uns et des autres pour guérir ou
s'améliorer.
Un autre exemple : au moment de la découverte de son cancer, ma mère
travaillait comme infirmière pour un docteur en médecine générale.
Plutôt que de lui dire qu'elle agissait stupidement comme son chirurgien
le lui avait dit, ce docteur qui l'employait la prit à part et lui dit :
"Ecoute Pat, si tu tiens vraiment à ta famille, tu ne les laisseras pas
sans qu'ils soient préparés." Bien que cela fût moins ouvertement
confrontant que ce que lui avait dit son chirurgien, c'était un virus
potentiel de pensée plus puissant que le simple fait de dire: "C'est un
paquet d'inepties".
Puisqu'une grande partie de la signification du message est
sous-entendue et non clairement énoncée il est plus difficile de
reconnaître le : "C'est seulement son opinion". Vous pensez : "Oui, je
tiens à ma famille. Non, je ne veux pas les laisser sans qu'ils soient
préparés." Mais, ce qui n'est pas énoncé, ce qui n'est pas à la surface,
c'est que "les laisser" signifie "mourir". La présupposition de cette
phrase est que vous allez mourir. Et l'implication de cette phrase était
que ma mère devait arrêter ce non-sens et se préparer à mourir sinon
cela rendrait la situation plus difficile encore pour sa famille : "Si
vous tenez vraiment à votre famille, vous n'essaierez pas de faire
mieux, parce que cela les laisserait non préparés". Ce qui fait de cet
énoncé un virus potentiel de la pensée, c'est que cela implique que la
"bonne" façon et la "seule" façon d'être une épouse et mère dévouée et
aimante est d'accepter que vous allez mourir et de vous préparer, vous
et votre famille, à cette inévitable issue. Cela suggère que d'essayer
de regagner la santé alors que la mort est imminente est essentiellement
agir d'une manière égoïste, et de ne pas se soucier de sa famille. Cela
apporterait de faux espoirs, des pertes financières potentielles et
mènerait à la tristesse et au désappointement.
De tels virus peuvent infecter la pensée et le système nerveux autant
qu'un virus physique peut infecter le corps et autant qu'un virus
informatique peut infecter un système informatique, menant à la
confusion et aux dérèglements. De la même façon que la programmation
d'un ordinateur ou d'un système complet d'ordinateurs peut être
endommagée par un virus informatique, notre système nerveux est
susceptible d'être infecté et endommagé par les virus de la pensée.
Biologiquement parlant, un virus est une petite pièce du matériel
génétique. Notre code génétique est le programme physique de notre
corps. Un virus est une partie incomplète d'un programme. Ce n'est
vraiment pas un être vivant. C'est pour cette raison qu'on ne peut pas
tuer un virus. Vous ne pouvez le tuer ni l'empoisonner parce qu'il n'est
pas vivant! Il entre dans les cellules de son "hôte" qui, s'il n'est pas
immunisé contre ce virus, lui construit une "maison" sans le savoir et
l'aide même à se reproduire. Un virus informatique, parallèlement à un
virus biologique, n'est pas un programme entier et complet. Il ne sait
pas à quelle partie de l'ordinateur il appartient, ni quels endroits de
la mémoire sont ouverts; il n'a aucune notion de l'écologie de l'ordinateur.
Le virus n'a donc pas de perception de son identité par rapport au
reste de la programmation de l'ordinateur. Sa tâche principale est de se
reproduire. Parce qu'il ne reconnaît pas ou ne respecte pas les
frontières des autres programmes et items dans l'ordinateur, il écrit
par-dessus eux sans discrimination, les effaçant et les remplaçant avec
lui-même. Cela amène l'ordinateur à mal fonctionner et à faire de
sérieuses erreurs.
Pour moi, un virus de la pensée est similaire aux autres types de virus.
Ce n'est pas une idée complète et cohérente qui s'intègre et soutient
fondamentalement l'ensemble du système d'idées et de croyances d'une
personne, d'une manière saine. Ce sont des pensées ou des croyances
isolées qui peuvent créer la confusion ou le conflit. Les pensées et les
croyances isolées n'ont pas un grand pouvoir individuel. Elles prennent
seulement vie lorsque que quelqu'un agit à partir d'elles.
Pour illustrer ce que je veux dire, ma mère a vécu plus de douze ans
au-delà de ce qu'avait prédit son médecin principalement parce qu'elle
n'a pas acheté certaines prédictions. Elle a cessé de travailler pour
lui et a vécu plusieurs années sans aucun symptôme du cancer.
Quelques années après que ma mère eut cessé de travailler pour lui, ce
docteur est devenu gravement malade.
Parce qu'il croyait que sa mort était imminente et inévitable, il
voulait se suicider. Il pensait même entraîner sa femme avec lui avec ou
sans son consentement : il ne voulait pas la laisser "non préparée" .
Le problème est qu'un virus de la pensée peut mener jusqu'à la mort
aussi rapidement que le virus du SIDA. Il peut tuer son hôte aussi
facilement qu'il peut nuire à d'autres qui deviennent infectés par
l'hôte. Pensez au nombre de personnes qui ont disparu à cause de
"nettoyages ethniques" et de guerres saintes.
Il se peut même que le virus du SIDA tue son hôte à cause des virus de
la pensé qui l'accompagnent. Le médecin de ma mère n'était pas un
mauvais bougre, loin de là. (Je crois qu'il était un bon docteur et
aussi un homme intègre.) Le noyau du problème, ce n'était pas cet homme,
c'était bien la croyance, le virus de pensée qui l'avaient contaminé.
Si on peut discriminer et neutraliser un virus, on ne peut le tuer, de
même qu'il est impossible de "tuer" une idée, une croyance car elles ne
sont pas vivantes à proprement parler. Tuer une personne ayant agi sous
l'influence d'une idée ou d'une croyance ne fait pas disparaître cette
croyance ou idée, des centaines d'années de guerre et de persécution
religieuse en font foi. La chimiothérapie agit avec le même principe
guerrier fondamental : détruire l'ennemi. Détruire l'ennemi, oui, mais
détruire aussi la faune et la flore qui supportent la vie. En empêchant
ainsi la propagation de la vie, on détruit alors les bons et les
méchants, sans sagesse.
Le corps humain nous offre un modèle éprouvé pour détruire les virus,
qu'ils soient de nature organique ou mentale. Il s'agit de bien
reconnaître le virus, de le circonscrire et de développer notre immunité
naturelle en ne lui laissant aucune ouverture dans notre système.
Les virus n'affectent pas seulement les gens ou les ordinateurs qui sont
« faibles », « stupides » ou «méchants». L'hôte des virus électroniques
ou biologiques est dupé parce que le virus semble, initialement, pouvoir
s'intégrer ou être inoffensif.
Notre code génétique est en quelque sorte un programme. Il fonctionne un
peu comme : «S'il y a un A et un B, alors exécute C » ou «Si quelque
chose a une structure 'AAA-BACADAEAF' alors il lui appartient». Une des
fonctions de notre système immunitaire est de vérifier les codes des
différentes parties du corps ainsi que de tout ce qui y entre afin de
s'assurer qu'ils sont sains et qu'ils font bien partie de notre système.
S'ils ne font pas partie de notre système, ils sont rejetés ou
recyclés. Le corps et le système immunitaire se font duper par un virus,
comme le virus du SIDA, parce que sa structure est semblable à celle de
nos cellules. En fait, les humains et les chimpanzés sont les seules
créatures à manifester des effets nocifs en présence du virus du SlDA,
puisqu'ils sont les seuls à avoir une structure génétique assez proche
de celle du virus du SlDA pour en être infectés.
Pour mieux comprendre, disons que le code génétique de quelqu'un est du
motif suivant :
'AAABACADAEAF'. Un virus pourrait avoir une structure : 'AAABAOAPEAF',
qui semble similaire au code génétique de l'individu. Si seulement les
cinq premières lettres sont vérifiées, le code semble être le même et il
sera alors admis à l'intérieur du corps.
Une autre façon par laquelle le corps peut être dupé par un virus est
lorsque celui-ci entre dans le corps entouré d'une protéine inoffensive
(un peu comme le cheval de Troie). Le système immunitaire ne perçoit pas
le stratagème. En quelque sorte, cela se rapproche de l'affirmation du
docteur qui disait : « Si vous tenez vraiment à votre famille, vous ne
les laisserez pas sans qu'ils soient préparés ». À première vue, ii n'y
a rien de très malsain dans cette affirmation. En fait, cela semble même
transmettre des valeurs positives : « Tenir vraiment, être préparé».
C'est le contexte dans lequel l'affirmation est faite et ce qui est
présupposé ou assumé, beaucoup plus que ce qui est exprimé, qui rend une
telle croyance potentiellement mortelle.
Il est important de se rappeler qu'un virus, qu'il soit biologique,
électronique ou mental, n'a pas d'intelligence ou d'intention qui lui
soit propre. En fait, c'est cette séparation d'un organisme entier plus
grand qui rend les virus dangereux. Un virus biologique est nocif
seulement si le corps l'admet en lui et s'il le confond avec lui-même.
Les infections virales ne sont ni mécaniques ni inévitables.
Il nous est tous déjà arrivé d'être exposé à un rhume, ou à une grippe
sans en avoir été infecté parce que notre système l'a combattu.
Lorsqu'une personne est vaccinée contre un virus, on apprend à son
système immunitaire à reconnaître le virus puis à le recycler ou à
l'éliminer. Le système immunitaire n'apprend pas à tuer le virus (parce
qu'il est impossible de le tuer).
Un programme informatique «antivirus», par exemple, ne détruit pas des
parties de l'ordinateur. Il reconnaît plutôt le programme viral de
l'ordinateur et l'efface simplement de la mémoire de l'ordinateur ou du
disque. Souvent, les programmes de protection de virus rejettent
simplement le disque « infecté» lorsqu'un virus est découvert, de sorte
que l'ordinateur ne court aucun risque.
De la même façon, en s'immunisant contre un virus, le système
immunitaire du corps devient mieux « éduqué » à reconnaître et classer
les virus. De la même façon qu'un enfant qui apprend à lire devient plus
habile à reconnaître les arrangements de lettres, le système immunitaire
devient meilleur à reconnaître et à classifier clairement les différents
modèles dans le code génétique des virus. Il vérifie le programme du
virus avec plus d'attention.
En guise d'exemple, notons qu'on a essentiellement effacé la variole de
la surface de la Terre mais nous n'avons pas réussi cela en tuant son
virus. Il est encore présent. Nous avons simplement appris à notre
système immunitaire à le reconnaître. Vous recevez le vaccin contre ce
virus et votre corps réalise soudain : «Oh, ce virus ne m'appartient pas
». C'est tout. Il est bon de rappeler que la vaccination ne tue pas les
virus ; elle aide le système immunitaire à différencier ce qui est
étranger au corps et ce qui ne l'est pas. Ce qui lui appartient et ce
qui ne lui appartient pas.
De façon similaire, le fait de sélectionner un fichier informatique sur
le disque de l'ordinateur et de le jeter dans la poubelle où il est
effacé, est aussi définitif mais moins violent que si l'on pense en
termes de « combattre » et « tuer » le virus. C'est aussi quelque chose
qui est fait pour protéger un ordinateur. Cela se produit au fur et à
mesure que l'on remplace les vieilles versions des programmes
lorsqu'elles deviennent désuètes.
Par exemple, à un certain stade du rétablissement de ma mère de son
cancer du sein, elle avait des douleurs à la colonne vertébrale et aux
côtes, dues à des métastases osseuses. Je lui ai demandé de visualiser
les parties de son corps qui lui faisaient mal. Quelque part dans son
dos, elle a vu quelque chose qui ressemblait à un enchevêtrement «
d'écrans rouillés». Suivant une procédure typique de PNL, je lui ai
demandé d'explorer les intentions positives de la « partie » d'elle-même
représentée par cette image.
Je l'ai invitée à demander intérieurement aux pièces d'écrans rouillées
quel était le message qu'elles avaient pour elle. La seule réponse
qu'elle ait reçue fut une voix intérieure qui répétait sans cesse comme
si elle la blâmait : «Tu es malade». Nous avons poursuivi pour
comprendre « l'intention » ou la « communication » de ces mots, mais il
semblait n'y en avoir aucune.
Je lui ai dit : « Peut-être s'agit-il seulement d'un virus qui n'a plus
rien à faire là. Peut-être dois-tu essayer d'éliminer ces écrans
rouillés et cette voix de ton corps et de ton système nerveux. Imagine
que tu puisses les mettre devant toi comme si tu enlevais un programme
corrompu du disque dur et que tu le mettais sur une disquette. Tu peux
conserver le programme sur la disquette au cas où il serait utile plus
tard. Mais pour tout de suite, tu peux effacer cette croyance
particulière de ton système opérationnel »
Elle a donc imaginé qu'elle tirait l'image et la voix jusqu'à
l'extérieur de son corps et qu'elle les mettait en face d'elle comme si
elles étaient sur une disquette imaginaire. Immédiatement après, elle a
ressenti ce qu'elle décrit comme étant des sensations de picotement et
de chaleur qui bougeaient le long de sa colonne vertébrale et de ses
côtes. Sa douleur diminua et elle n'a jamais ressenti le besoin de
reprendre ces écrans rouillés ; cette voix à l'intérieur d'elle ne lui
appartenait tout simplement pas.
Evidemment, je ne recommande pas qu'on se promène et que l'on efface
toutes les pensées limitantes. En fait, la première chose à faire est de
vraiment prendre le temps d'explorer la communication ou l'intention
positive du symptôme. Je connais plusieurs personnes qui essaient
simplement de se débarrasser de leurs symptômes et d'en espérer le
départ, et qui ont des problèmes puisqu'elles ne tentent pas d'écouter
ou de comprendre leur situation. Cela prend souvent un bon lot de
sagesse pour reconnaître et distinguer un virus.
Guérir d'un virus de pensée implique un approfondissement et un
enrichissement de nos cartes mentales afin d'avoir plus de choix et de
perspective à notre disposition. La sagesse, l'éthique et l'écologie ne
dérivent pas du fait que nous ayons les cartes du monde justes, parce
que les êtres humains ne seraient pas en mesure d'en faire une. Le but
est plutôt de créer la carte la plus complète possible, qui respecte la
nature et l'écologie de l'organisme ainsi que le monde dans lequel on
vit. Lorsqu'un modèle du monde s'enrichit et s'élargit, s'enrichit et
s'élargit aussi la perception de celui à qui il appartient quant à son
identité et à sa mission. Le système immunitaire est en quelque sorte le
mécanisme par lequel le corps clarifie et maintient l'intégrité de son
identité physique.
Le processus de l'immunisation implique essentiellement que le système
immunitaire en sache davantage sur ce qui fait partie de l'être physique
et ce qui n'en fait pas partie. De la même façon, l'immunisation d'un
virus de pensée implique la clarification, la congruence et l'alignement
du système de croyances en relation avec l'identité et la mission
psychologique et spirituelle.
Finalement, nous devons apprendre à faire face à des croyances limitées
et à des virus de la pensée d'une façon qui ressemble davantage à de
l'immunisation qu'à de la chimiothérapie. Plusieurs des présuppositions
et des techniques de la PNL peuvent être vues comme une sorte de
vaccination pour aider à immuniser les systèmes de croyances des gens à
certains « virus de pensée ». Appliquer ces principes et ces techniques
est un processus à long terme, comme un jardinier prenant soin de son
jardin, plutôt que quelque chose à faire en temps de crise seulement.
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