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-- Bonsoir à tou(te)s

Juste , à l’occasion , une longue note de lecture concernant l’ouvrage que je
viens de terminer :
Il s’agit du livre d’ ANTON PARKS , « Le secret des étoiles sombres », paru aux
éditions NENKI en février 2005.

En voici la dernière de couverture, pour situer le sujet de ce récit troublant ,
1er volume des « Chroniques du Girku » :
L’humanité est plongée au cœur d’une querelle millénaire entre humanoïdes
reptiliens d’une même souche devenus de vérit	ables hors-la-loi universels.
Leur dissension mutuelle et désaccords perpétrés à l’encontre de la communauté
planificatrice de cette partie de l’univers, ont engendré, par le passé, des
situations conflictuelles sur la Terre. Ce contexte anormal se répercute
aujourd’hui encore dans notre société, car cette famille galactique, totalement
déchirée, contrôle dans l’ombre l’ensemble des crédules habitants de cette
planète.
Le premier volume de ce triptyque évocateur et hautement détaillé, vous révèlera
la Genès d’une partie des « dieux » dont la trace se retrouve dans de nombreuses
légendes de la Terre, en passant par la mythologie mésopotamienne jusqu’aux
traditions des Amérindiens. Anton Parks détient un savoir ancestral
encyclopédique dont l’ampleur défie toute rationalité. Il nous livre sans
détours de nombreux rites et secrets relatifsà ces « dieux » déchus, ainsi que
la raison cachée qui condamna ces derniers à s’échouer sur cette planète en des
temps reculés. En parcourant « Le secret des étoiles sombres », vous découvrirez
toute l’organisation sociale et politique de cette famille galactique du nom de
Gina’abul à laquelle appartiennent les fameux « dieux » Annunaki des tablettes
sumériennes. Ce récit est un parcours initiatique périlleux qui vous mènera  au
cœur d’une d’une communauté de prêtresses en déclin, meurtrie par une société
patriarcale enracinée dans une agressivité génétique programmée. Les chroniques
d’Anton Parks donnent le vertige tant par les thèmes traités que par les
nombreux éclaircissements totalement originaux qui en découlent. Au fil des
pages, les mystères du passé et de nombreux thèmes restés incompris jusqu’à
présent tombent, un à un, tel un château de cartes…
Les révélations d’Anton Parks ne s’arrêtent pas là . L’auteur nous dévoile
également le code linguistique des « dieux », astucieusement dissimulé dans la
grande majorité des anciens langages de la Terre. Le syllabaire
suméro-assyro-babylonnien est la clé d’une codification inventive, la langue
sumérienne est l’idiome empreinte des « dieux » qui servit à fabriquer tous les
mots usuels de nombreux idiomes et langages ancestraux comme : le chinois, le
dogon du Mali, les langues germaniques, l’ancien grec, l’hébreu, le hopi de
l’Arizona, le latin…et bien d’autres encore. La démonstration de l’auteur est
stupéfiante !
Parallèlement à son récit, Anton Parks vous propose une étude comparative visant
à donner une explication universelle des différents mythes de la planète. Entre
mythes voisins et distants, parfois séparés par un océan, votre compréhension
s’élargira grâce à des similitudes stupéfiantes, dûment relevées, qui vous
présenteront une nouvelle vision de l’histoire de l’humanité. L es traditions
accumulées et démystifiées dans la série « Les chroniques du Girku » sont
édifiantes. Les concordances légendaires relatées à travers l’histoire qui vous
est  dévoilée vous apporteront de précieuses informations sur l’origine de
nombreuse traditions de la planète et vous aideront à mieux comprendre le
système sournois dans laquel nous évoluons aujourd’hui.
A la lecture de « Les chroniques du Girku », vous n’aurez jamais été aussi près
de la vérité et vous ne verrez plus le monde de la même façon. Les
qualificatifs manquent pour décrire cette œuvre magistrale.

Mais enfin, quel rapport avec le sujet qui nous intéresse ici, me direz-vous ?
Eh bien dans ce récit impressionnant, certains éléments nous rappellent quelque
chose :
par exemple l’utilisation d’une double langage codé ;
P102 : « l’élocution de notre reine était curieuse. Nos femelles avaient pour
habitude d’accentuer fortement certaines syllabes, ce qui avait pour effet de
leur conférer un accent redoutable(…) nos femelles pratiquaient un double
langage qui nous était inconnu »
p214 : « Des éclairages illuminaient par le bas les étendards multicolores parés
du symbole des deux Mus (serpents) entrecroisés qui gardaient chacune des portes
de la ville. Mamitu  me montra du doigt les deux Unir (pyramides) de la ville en
me précisant qu’elles étaient le centre de cérémonies religieuses très secrètes.
Ma guide accentua formidablement la prononciation du « u » lorsqu’elle me nomma
les deux élévations. Je compris qu’il s’agissait une fois encore de
l’utilisation subtile du double langage des prêtresses  . »

ou encore le fluide  thixotropique utilisé dans les vaisseaux :
p237 : « au zéro fatidique (…) l’habitacle s’emplit instantanément d’un fluide
diaphane. Je sentis mon corps flotter dans le liquide, comme aspiré par un
tunnel pourpre, ce qui me procura une profonde décontraction. Au fil de
l’accélération, le fluide pellucide se solidifia progressivement, nous cernant
et nous enveloppant de près comme dans un étau(…)la vitesse de croisière
atteinte, le fluide qui nous permit de supporter l’accélération se liquéfia
graduellement, nous permettant d’évoluer à notre guise dans l’habitacle comme
dans une petite piscine.

Ou encore l’existence de planificateurs au service de la source originelle («
Dieu »), les Kadistu , formant une communauté constituées de nombreuses races
galactiques différentes. (Dans le genre des DOOKAIENS ?). Notre race a toujours
vécu dans des dimensions plus basses que celles utilisées par les Kadistu.

L ‘existence de plusieurs étages dimensionnels répartis entre 3 dimensions
inférieures (formant le Grand Bas, KIGAL) et plusieurs dimensions supérieures
(formant le Grand Haut, ANGAL) , l’humanité terrestre évoluant actuellement
dans la 3ème dimension inférieure, le KI, la plus haute du bas astral. Les
Kadistu ont la capacité de s’évaporer subitement lorsqu’une fois venus en KI
(par exemple pour délivrer un message) ils regagnent leur dimension habituelle,
supérieure. Cela rappelle la disparition physique des humains au terme de leur
évolution en ce « bas monde… »évoquée dans les lettres sur les  "Oemiiwoa":
incarnations cosmiques impulsant l'évolution .

Quoi qu’on en pense à priori, cet ouvrage mérite d’être lu par tous ceux qui
s’intéressent aux origines de l’humanité. Allergiques au clonage à la chaîne
s’abstenir ! (ah ah…)






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