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[DIVERS] Re: [NR 15 surveillance de l'ETNA] . [Traces observées en 1970]




Selon Jean-François DUPOUY <jeanfrancois.dupouy@free.fr>:


Désolé mais j'arrive pas lire...


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> Je viens de terminer la lecture d’un ouvrage de Jacques BERGIER et Georges H.
> GALLET paru en 1975 sous le titre « Le livre du mystère », aux éditions ALBIN
> MICHEL  (Les chemins de l’impossible ).Quantité d’anecdotes « fortéennes » y
> sont rapportées , dont certaines particulièrement impressionnantes .Mais mon
> attention a été attirée par le passage suivant , en rapport avec de
> mystérieuses empreintes sur l’ETNA :
> « Le 11 octobre 1970 , par une claire matinée d’automne , un groupe de six
> amis
> redescendaient les pentes de l’ETNA au retour d’une excursion au cratère du
> volcan. Rien ne les avait préparés au spectacle qui les attendait.
> A 3 150 mètres d’altitude, à environ 600 mètres à l’ouest de l’observatoire,
> leur attention fut attirée par une mystérieuse empreinte qui avait l’aspect
> d’un pied humain, mais de dimensions énormes. Ils pensèrent tout d’abord à un
> jeu du hasard, malgré la netteté de l’empreinte : longue d’un mètre et demi
> et
> profonde de 15 centimètres, elle avait la forme du pied droit et l’on
> distinguait la marque du talon, de la plante et de trois orteils. Mais quand
> à
> une courte distance ils aperçurent une autre empreinte semblable, cette fois
> du
> pied gauche, puis cinq autres à environ 4 mètres l’une de l’autre et
> régulièrement alternées, comme si elles avaient été laissées par un être
> gigantesque, les témoins éprouvèrent une émotion et une frayeur bien
> compréhensible et commencèrent à se poser des questions.
> Ils pensèrent d’abord qu’il pouvait s’agir de traces laissées par quelque
> équipe
> de cinéastes tournant un film de science-fiction ou à sujet mythologique,
> mais
> outre le fait qu’on n’avait rien signalé de semblable durant cette période,
> les
> empreintes étaient absolument isolées, il n’y avait aux alentours aucune
> trace
> de pieds humains ou d’un quelconque moyen de transport. L’idée que quelqu’un
> avait transporté un objet volumineux capable de laisser de pareilles traces
> était donc à exclure à priori .On excluait aussi la possibilité d’une
> plaisanterie, laquelle d’ailleurs n’aurait guère eu de sens, car c’est par
> hasard que les témoins virent les empreintes. Le premier moment de surprise
> passé, ils songèrent finalement à les photographier.
> Vingt jours plus tard, le 1er novembre, les six témoins auxquels se
> joignirent
> cinq autres amis, retournèrent sur les lieux. Les traces avaient résisté au
> vent et aux agents atmosphériques et étaient encore assez visibles, au point
> de
> pouvoir encore être photographiées. La chose fut communiquée à la presse, et
> comme toujours dans des cas de ce genre, après un premier moment de
> curiosité,
> elle fut complètement oubliée sans qu’aucune voix autorisée se soit élevée
> pour
> donner une interprétation à un phénomène aussi étrange(…)
> Dans le quotidien "La Sicilia" du 22 novembre 1970, parut un article dans
> lequel
> Eugenio Siracusa (…)avançait une théorie selon laquelle les traces auraient
> été
> laissées par les « pieds » d’un « module » spatial d’atterrissage. On en
> revenait ainsi à l’idée que des voyageurs extra-terrestres visiteraient la
> Terre .(…)
> Nous nous sommes bornés à exposer les faits, nous gardant de tout jugement
> péremptoire comme de toute hypothèse hasardeuse. Un dernier détail : lors de
> la
> dernière éruption de l’ETNA, on a noté l’apparition de plusieurs cratères
> secondaires dans la région où furent découvertes les empreintes. S’agit-il
> seulement d’une coïncidence ? »
>
>
>
>
>
>
> Or ,la  NR15 nous apporte les informations suivantes :
> « Nous surveillons avec constance les cratères de l'Etna et de Panarea en
> Italie
> (…)Depuis 1972, un système de compensation tectonique a été progressivement
> mis
> en place avec succès le long de la faille pacifique de San Andreas pour
> réduire
> les effets de l'activité sismique dans cette région. Une explosion imminente
> de
> l'Etna fut également évitée par nous en 1967 en créant une cavité
> artificielle
> dans la roche qui permit d'évacuer le surcroît de pression. Cette cavité, en
> s'effondrant, fut à l'origine d'une nouvelle bouche du volcan. Vos frères
> Tazieff et Tonani avaient été prévenus de ce phénomène par courrier en avril
> 1967. J'ai moi-même exploré l'Etna, Panarea et le Stromboli en novembre et
> décembre 2002 afin d'y placer des instruments de mesure souterrains. »
>
>
>
> Amitiés et bonne soirée à tou(te)s.
> JFD
>
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