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[DIVERS] Re: logique tetravalente - perte par réduction vs gain par synthèse






Le 11 déc. 05 à 22:43, BEA a écrit :


Le 11 déc. 05, à 12:45, jmfa a écrit
Par exemple, de souvenir, il me semble que pour vous, ¬ ¬ S est
différent de S, et là, du point de vue de la logique, ça pose problème
-----
parce qu'il y a de la perte d'information à chaque ¬ ; il y a double
réduction si vous voulez . Prenez un animal marchant dans la neige ;
vous trouvez ses traces et vous pouvez faire une carte des traces avec
les coordonnées des traces, leur aspect etc. aux fins d'étude ; à la
fin vous ne retombez pas sur l'animal, mais sur le type d'animal dont
vous avez étudié les traces et que vous identifiez comme étant un
lièvre des neiges . Nous avons des traces du Réel ¬S et nous étudions
ces traces ¬¬ S . C'est notre destin . Je ne vois pas pourquoi une
logique tétravalente ne pourrait pas rendre compte de ça...

== en effet la non trace ne renvoie pas vers la non existence de  
l'animal
en tétravalence on passe d'un pôle à l'autre grâce à la force  
trempolinique, que les pôles renvoient, jusqu'à calage.
La posture et les altérations du discours peuvent ainsi choisir entre  
trois autres pôles qui seront présentés en toute impunité comme étant  
un seul inverse très parlant de ce qui est refusé.
enfin de ce qui tend à devoir l'être pour une raison de logique  
neuronique

comment mathématiser cette oscillation qui peut vite perdre le fil  
selon l'échelle de ce qui est raisonnable dans le pensé (raisonnable  
à petite ou grande échelle) si la structure du parcours n'est pas  
connue, quel pôle agit comment, avant de se demander selon quelle  
règle universelle elle fonctionne,
revient à se demander où est mémorisée l'information de la structure  
dans une construction si tant est que dès lors qu'il y a construction  
il y a structure sous-jacente, même si on ne la découvre en tant que  
spectateur qu'au fur et à mesure, cette structure existe solidement  
et le fait que le monde soit en est la preuve

C'est la compréhension de la structure de la pensée, de la nature et  
du cosmos qui est grandissante avec les expériences et qui certifie  
les chemins à suivre ; dans la bible les recommandations sont des  
phares dans la nuit qui représentent des résultats à obtenir, comme  
une vérification que le chemin parcouru dans la logique grâce à sa  
compréhension est le bon.

Dès lors on s'observe comme étant découvreurs d'une structure  
inhérente à tout qui est prééxistante, on est comme à contretemps  
dans le cosmos et ce concept de devoir dégrader pour isoler,  
conditionne finalement toutes les constructions.
Les concepts assimilés enclenchent le besoin d'essayer des  
constructions plus complexes, constructions qu'on réussirait du  
premier coup à force de sagesse et de paisibilité d'esprit.

La matière est réutilisable à l'échelle du cosmos comme la glève est  
maléable pour le penseur noumiconien, qui n'a pas peur de dégrader  
son joli cube pour en faire une jolie sculpture, de rendre  
impossibles des rêves non encore faits (=masculinité).

C'est au moment de la réalisation qu'opère la transduction, le  
transfert d'un message par une voie d'accès qui est permise par les  
deux interlocuteurs, au travers de ce que les deux groupes ont le  
plus en commun, comme quand les atomes mettent en commun leurs  
électrons.

C'est à ce moment que la structure et le message ne forment qu'un,  
qu'intervient le concept de "langage" pour décrire ce qui se passe  
quand le monde a lieu
croire que le cosmos parle à quelqu'un est bête car les propriétés  
unifiées que sont le "langage" sont un amoindrissement du total des  
propriétés du cosmos, ça n'est donc pas le même outil

l'intéressant est de voir qu'on dispose dans le présent et la  
structure des informations redondantes qui signifient la  
perpendicularité de leur dimension, et en soit toute l'information  
suffisante pour projetter ceci au travers de toutes dimensions sans  
risque de se teplan

--------------


Le 14 déc. 05 à 13:30, BEA a écrit :

en psychopathologie, c'est la marque de la névrose, non pas de nier
cette perte primordiale comme le pervers aristotélicien, mais de ne
pas en tenir compte, de faire comme si on pouvait s'en passer, comme
si on pouvait l'oublier - c'est très à la mode : combien de papiers
scientifiques oublient au départ d'expliquer  dans quelle réduction
ils opèrent ? ce n'est pas parce que c'est à la mode qu'il faut
suivre...

ça marche dans l'autre sens la violence morale c'est d'imposer cette  
absence d'influence de la connaissance de la réduction initiale,  
autant que de faire croire à la prise en compte d'une réduction  
initiale illicite,
Oui ou c'est très subtil la violence morale c'est c'est le mal numéro  
1, il suffit qu'un employeur vous annonce la bonne nouvelle selon  
laquelle vous allez être muté, pur que le cerveau soit gravement lésé  
par cette agression neurologique d'une rare violence ; les promesses  
non tenues ont aussi cet effet.
la dévastation de la potentialité de la liberté devrait quand même  
pouvoir être reconnue dans peu de temps par la morale publique pour  
les ravages neurochimiques qu'elle occasionne

ce qu'il y a c'est que c'est dans le vouloir que chacun place le  
discours dans son champs de pouvoir, que le travail groupé enrichit  
et que la discussion évasive dégrade ultimement, de sorte que "la  
conversation" ne devienne plus qu'un Shaman qui visite les esprits du  
groupe, chacun raconte sa life... mais aussi chacun construit les  
objets sur lesquels rebondir fait travailler les méninges ;
pour moi c'est logique si les possibilités deviennent plus nombreuses  
quand on tend vers universel, et donc si ces idées-objets se  
certifient de mieux en mieux quand on discute, bien plus que quand on  
rumine, plus si on discute en ruminant que si on rumine en discutant



Le 14 déc. 05 à 13:30, BEA a écrit :


Le 14 déc. 05 à 02:18, Norman Molhant a écrit :


C'est devenu maintenant mon opinion et c'est pour cela que la
formule ¬ S utilisée par l'érudit de Jacques Louys pour désigner
ce-qui-est ne convient pas en PL4C: elle représente une opération
modifiant la totipotence (la dégradant à ce-qui-est) alors que
nous n'avons essentiellement aucun accès à la totipotence - nous
n'avons en pratique accès (par la pensée) qu'aux 4 pôles de la
totipotence:
    ce-qui-est                       (désigné par T en PL4C)
    ce-qui-n'est-pas                 (désigné par F en PL4C)
    ce-qui-est-et-n'est-pas          (désigné par B en PL4C)
    ce-qui-ni-est-ni-n'est-pas       (désigné par N en PL4C)
C'est encore pour cela qu'au lieu de représenter la totipotence
elle-même en PL4C (par le symbole S comme le fait JLS), je
préfère ne représenter que l'ensemble TFBN des 4 pôles qui sont
accessibles à notre pensée: TFBN = { T, F, B, N }

Finalement je ne pense plus comme il y a quelques mois que
l'ensemble de ces 4 pôles soit identique à la totipotence
(AIOODII), je pense plutôt que ces 4 pôles ne forment que
ce-qui-est-connaissable de la totipotence, c-à-d: la "trace"
de la totipotence telle que déformée par notre pensée.
C'est aussi une des raisons pour lesquelles j'aime bien la
représentation de cette logique sous la forme d'un tétraèdre:
les 4 pôles T, F, B et N sont les 4 sommets du tétraèdre et on
voit que l'ensemble { T, F, B, N } est seulement l'ensemble des
4 sommets du tétraèdre, il n'est *pas* l'ensemble de tout le
tétraèdre (le tétraèdre avec son volume servant de représentation
graphique du concept de totipotence).
-------
oui, mais on perd alors la perte initiale, la réduction primaire, le
passage irrémédiable de la totipotence à la multipotence, la
"castration" dans mon champ (avec un vocabulaire qui date du 19ème
siècle où on châtrait les taureaux sauvages pour en faire des boeufs
civilisés)

en psychopathologie, c'est la marque de la névrose, non pas de nier
cette perte primordiale comme le pervers aristotélicien, mais de ne
pas en tenir compte, de faire comme si on pouvait s'en passer, comme
si on pouvait l'oublier - c'est très à la mode : combien de papiers
scientifiques oublient au départ d'expliquer  dans quelle réduction
ils opèrent ? ce n'est pas parce que c'est à la mode qu'il faut
suivre...

= moi, je ne tiens pas plus que ça au "¬ S" du Pr Tom J. F. Tillemans
(en fait qui est canadien et néerlandais ! http://www.unil.ch/Jahia/
site/orient/op/edit/lang/fr/pid/5630 )

mais comment trouver une formulation du "complément" qui permette de
ne pas biaiser cette perte inaugurale ? d'utiliser "¬"  est peut être
un peu primaire à tes yeux, mais ça a l'avantage de pouvoir retrouver
cet opérateur dans les quatre pôles logiques - j'espère beaucoup que
tu trouveras mieux - TFBN c'est déjà de la conception intellectuelle,
du (Y)EEDOO, formée d'initiales de mots de la langue courante - c'est
lire la formulation, l'algorithme de l'articulation des quatre pôles,
par ce bout là - c'est déjà une étape supplémentaire, celle des
applications où on peut entrer dans la formule par le bout qu'on
veut, par le bout qui correspond à ce que l'on cherche, ici le bout
de la réflexion intellectuelle

nb : on ne peut prouver la totipotence sinon on serait des dieux,
mais on doit pouvoir prouver la perte de la transduction inaugurale
par ce qu'elle donne de cohérence à l'univers où nous sommes plongés
irrémédiablement - et ce à tous les niveaux selon le principe
d'économie le plus radical que je connaisse, à savoir la congruence
entre le fonctionnement physique et le fonctionnement psychique de
l'homme - si on n'y arrive pas, alors il sera toujours temps de
penser à un fonctionnement différent et essayer de comprendre
pourquoi... je ne pense pas que ça soit une projection de sentir cet
arrière-plan dans les textes ummites - et ce ne sont certainement pas
des créationnistes qui ont écrit ces textes car ces derniers sont
généralement des fidèles supporters de Bush (http://
www.whitehouse.gov/) et ils n'auraient jamais traité Bush de
"psychopathe" ce qui est exactement mon diagnostic maintenant aussi,
venant de passer six mois à étudier la psychopathie...


-----------




Le 15 déc. 05 à 08:26, BEA a écrit :

>
>
> Le 14 déc. 05 à 21:27, Manuel R. a écrit :
>
>> Si un jour nous arrivons à construire une logique tétravalente, on
>> devra dire « merci Aristote » et même a ce moment là, nous
>> continuerons, comme le font nos correspondants, a utiliser cette
>> logique dualiste pour la plupart de nos raisonnements. Je ne vois
>> pas pourquoi qualifier de élitiste, de se mètre comme des dieux ou
>> tout ça, par le simple fait d’utiliser ou valoriser une logique (un
>> instrument de validation des raisonnements) que les oummains disent
>> utiliser aussi dans leur vies quotidiens.
> ----------
> hélas, noble homme de bonne foi, qui ne voit pas le mal, ce genre de
> réduction au dualisme a toujours été instrumentalisée par les  
> affreux :
> - déjà du temps d'Aristote pour asseoir le pouvoir des tyrans - il ne
> pouvait pas y avoir de vide dans un système totalitaire et on a mis
> deux mille ans (!!) pour repenser le vide - entre temps, il n'y a eu
> que des tyrannies toutes plus affreuses les unes que les autres et ce
> n'est pas fini, loin de là, avec le peakoil qui se profile,
> directement issu de la connerie des empires contemporains et la crise
> majeure de l'énergie où nous entrons en cette année 2006 (bonne année
> à tous !)
> - deuxièmement, et encore plus (car à mon avis c'est le principal de
> la motivation de la tyrannie) cela a servi à nier la partie féminine
> du psychisme et à assujettir la partie féminine de l'humanité - car
> se contenter des pôles ternaires de la tétravalence pour en rester à
> l'alternative (Y)AA / (Y)EEDOO, c'est nier l'intérêt des autres pôles
> qui sont, eux, privilégiés par la pensée féminine (Y)AU / (Y)A AMMIE
> - cette pensée et cette parole a beaucoup de mal encore aujourd'hui à
> arriver à surgir (même avec une femme de combat comme Laurence, comme
> on peut le voir sur ces listes) - les "ummites insistent" assez sur
> cela - je me coltine journellement les maladies mentales créées par
> cette négation et cet assujettissement et n'ai aucune sympathie pour
> le système idéologique qui les pérennise....
>
>

== et oui et en plus c'est collant parce que cette pérénité est  
autonome, dire fait entendre, on pourrait très bien dire la même  
chose mais entendre sa logique tétravalente en toute quiétude, mais  
au lieu de ça les premiers au courants - soit professent - soit  
s'éloignent pour éviter les irritations, le temps que l'entendement  
collectif se calibre à nouveau.
Le monde dans lequel on vit, seul les humains peuvent le construire,  
mais c'est difficile car il est déjà parfaitement construit ; c'est  
légitime de polariser sur ce qui est figé et qui ne devrait pas  
l'être, c'est louche un truc figé

------------


Le 22 déc. 05 à 07:15, BEA a écrit :

Le 21 déc. 05, à 12:11, Jean Pollion a écrit :

L'évolution des théories modernes vers des modèles d'univers a plus de
4 dimensions va conduire à la mise en évidence des réductions
nécessaires, dans nos modèles aussi.
Le jour où un modèle a plus de 4 dimensions sera reconnu "fonctionnel"
sur Terre, il me semble qu'il aura du intégrer les limitations
humaines, faisant alors la preuve, aussi en physique, de nécessaires
réductions.

-----
oui, il sera reconnu fonctionnel quand ce ne sera qu'en passant par lui
qu'on pourra vraiment rendre compte du fonctionnement physico-chimique
de notre univers... mais devons-nous attendre la découverte d'un
hypothétique univers jumeau pour cela ? Le modèle du mécano, même
rebaptisé chromodynamique quantique, est toujours très performant . La
complexité est alors conçue comme un échafaudage de corps et de
propriétés simples, "naturelles", avec le surgissement de propriétés
nouvelles par la grâce de l'émergence . "Les structures échelonnées sur
la pyramide de la complexité doivent leur cohésion à l'existence des
forces de la nature."
http://villemin.gerard.free.fr/Science/PaForce.htm

Le hic c'est que c'est une foi qui met dans l'avenir toujours plus loin
la preuve de sa vérité . Pour cette théorie-foi, un objet trop complexe
est simplement en attente du temps où le bien-fondé de cette conception
pyramidale sera prouvable . Cela ressemble souvent à la démarche que je
vois dans le champ psychanalytique où on peut faire la même critique
(et ce champ est très contaminé en cela par la pensée aristotélicienne
à mon grand dam !)

== mais ça, l'insuffisance, c'est vraiment psychopathologique n'est- 
ce pas docteur?
le capitalisme, c'est bien ça, de promettre qu'un jour ça ira mieux  
et que ça justifiera d'avoir perdu la vie dans les mines de  
charbon... c'est lorsque que cette vérité indéniable est utilisée en  
opposition dualiste avec son refus pur et simple (la promesse d'un  
jour meilleur), que c'est du terrorisme, car en fait, si la  
proposition sous-jacente est absolument vraie, ce n'est que dans la  
mesure où, d'après moi, le capitalisme engendrera un meilleur système,
donc, on va dire, dans un autre cadre.

On peut déjà dire que par essence, tout renversement (c'est toujours  
des renversements les transductions, je le dis depuis le début, il  
est bien ce mot) :
toute mise en opposition renvoie systématiquement à un autre sujet de  
conversation

et d'ailleurs le principe du calque de la méthode par analogie, bien  
qu'obscure car c'est une fonction trop occupée pour passer à la télé  
du "conscient", et qui se cache un peu car ses méthodes justement ne  
sont pas très avouables, adore les renversements quand ils  
fonctionnent pleinement,

la bâtisse qui a servit à mentaliser sa conception afin de  
l'appliquer ensuite à un nouveau champ psychique, peut enfin être  
abandonnée à sa lente désagrégation;
Je suis certain que le fin lecteur n'aura pas manqué d'observer que  
la méthode de cette articulation que j'ai décrite est la même à deux  
niveau, la construction et le renversement, celle du renversement  
s'apprend par la construction, qui guide alors l'information de la  
méthode elle-même (non pas à son point de départ comme si il n'y  
avait que deux pôles séquentiels), mais vers un pôle adjacent, ce qui  
le renvoie dos à dos avec le quatrième pôle;
ce qui renvoie à deux autres pôles représentatif des deux premiers de  
la construction, ce qui met ensemble le système.

L'homéostasie, ça va être la pression des 4 pôles dans le guidage de  
l'information téléportée par un renversement ?




J'en profite pour rappeler qu'en France, en tout cas, on discute de la
complexité en biologie depuis cinquante ans . Cela a servi au
remplacement de la notion de théorie par celle de "modèle" . Une des
premières personnes que j'avais invitée pour faire un séminaire
là-dessus a été un ingénieur agronome, car les gens de l'INRA ont été
confrontés très tôt au problème de ce qu'un champ (un pré avec de
l'herbe) est déjà beaucoup trop complexe pour que l'on puisse en faire
une théorie fonctionnelle - on ne peut en faire que des modèles et même
le modèle le plus complexe est conçu comme une réduction drastique du
réel, car dès qu'on essaie d'intervenir "scientifiquement" avec lui, on
a des déboires pas possibles dans le champ lui-même . La notion
d'équilibres écologiques en est née et toute la pensée écolo par
après... Cela a fait tache d'huile dans le reste de la biologie et même
en politique .

La notion d'équilibres homéostasiques ne colle pas bien avec la théorie
de l'émergence et l'avenir de la biologie se fera sans doute par des
batailles autours de ça . Comprendre comment l'homéostasie est la
marque de la dégradation d'une complexité infinie (une totipotence
initiale supposée) sera passionnant.

== ah oui il suffit de poser la question, l'homéostasie c'est le  
meilleur emboîtement trouvé à l'enchaînement des 4 pôles, qui doivent  
s'articuler, former un ordre, un emboîtement, une articulation, bref  
se compléter, et une justesse que permet ce système mental (mais réel  
dans le cosmos).
Il est dès lors capable de fonctionner de façon autonome, de servir  
dans des combinaisons, il est connectable.
Quand un système fonctionne, qu'il y a équilibre des forces de chacun  
des 4 pôles sur les 3 autres, perfection dans le transport  
d'information, pour le coup un système unitaire fonctionne et ce  
n'est que la propriété constatée sur l'environnement, qui est  
l'émergence de cette construction, par exemple la gravité = propriété  
de la masse.

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