[DIVERS] Re: [psychovirus nr14]

["cobrawalk" <cobrawalk@hotmail.com>]

NR14 psychovirus
Ces psychovirus sont instillés pour la plupart dès l'enfance par les
géniteurs eux-mêmes qui tentent tant bien que mal d'éluder les nombreuses
questions candides de leur enfant par des réponses toutes faites ou
inventées dans l'inspiration du moment.

Le système éducatif et les médias de diffusion de l'information achèvent ce
processus qui finit par fragiliser le discernement critique de vos jeunes
pour les conformer aux idéologies erronées proférées par vos instances
politiques, économiques et religieuses. L'existence de différences parfois
fondamentales entre les idéologies des différentes nations de votre planète
entraîne inévitablement des tensions xénophobes entre les individus dues à
leur seule incapacité d'accepter leurs différences et de moduler leurs
comportements en fonction d'elles. Ces virus psychologiques aboutissent, par
un processus insinuant d'apprentissage, à modifier physiologiquement des
structures synaptiques en créant et en consolidant des connexions neuronales
thalamiques et hypothalamiques ainsi qu'au niveau de certaines zones clés,
en particulier l'amygdale, le noyau accumbens, l'aqueduc de Sylvius, le
septum et l'hippocampe. Ils conditionnent lentement l'individu à agir de
façon prévisible en réponse à des stimuli remettant en cause son sentiment
de sécurité, ses convictions intimes et les préjugés inculqués à travers un
mécanisme que l'on pourrait définir comme une homéostasie psychologique.
L'argent, la religion et l'orgueil nationaliste sont sans conteste les
principaux ressorts dont usent vos dirigeants à votre encontre."

== La psychovirus est un "pendant" du biovirus, on peut se figurer qu'il
existe une relation entre les deux, si tant est qu'une mutation de ce type
et possible, ce qui est difficile car il faudrait une conscience du nouvel
emplacement du virus pour l'y copier. Le virus comme en informatique tend à
se copier et à s'autodétruire holistiquement.

L'instillation du psychovirus a lieu pendant l'enfance, dans le cas présenté
éluder une question importante (pour laquelle l'attention est activée au
maximum ; à ces moments de la croissance intense certains évenements très
courts sont mémorisés à vie).
Eluder une question c'est transmettre un message subconscient qui est
interprétable excessivement ; dans le doute et l'irrationnel figurent la
peur, comme par exemple si on nous fait une offre trop généreuse sans
chercher à comprendre les raisons, il y a des raisons logiques d'avoir peur,
et c'est dans cette ignorance que s'immisce a crainte. Le message transmit
est tout aussi indécis que cela. dans cette indécision l'intérprétation peut
s'octroyer la définition la plus logique avec son fonctionnement.
Le message est subconscient car consciemment n'est pas dit "ça ne
m'intéresse pas de parler avec toi". Le message est transmit par le
signifiant de la situation, il faut être dans le contexte de la personnalité
et des comparaisons avec les réactions habituelles, mais si justement ces
réactions sont coutumières, alors le message transmit n'est que plus répété.
C'est important de noter que cette déchéance affective est le message
transmit par le parent, dans les faits une réponse inappropriée à la
question mais impliquant la raison de sa non réponse ; au final l'enfant
reconstruit la logique qui permet d'aboutir à la même réaction dans une
situation similaire. En réalité le message transmit possède en lui l'outil
pour le comprendre et le décortiquer. En l'état de la connaissance, la
marque de désintérêt signifie son intérêt plus grand pour autre chose
d'inconnu y compris de lui-même. Par là se développe l'apprentissage de
l'utilisation du voile mentale et des bénéfices réconfortants et
compensateurs qu'il confère, en protégeant la conscience des agressions
grâce aux explications frauduleuses et inappropriées que le psychovirus fait
se produire.

De cette façon on conçoit la survie du psychovirus comme celle d'un seul
être capable de se copier dans les personalités en y entrant comme à
reculons, à travers le sous-jacent et la signification profonde non analysée
 mais lourdement ressentie, acceptée comme un message à part entière,
constaté dans la réalité au travers des actes vécus et analysés, donc
servant de référant dans le psychisme.
On voit beaucoup de messages de type programmant si analysés hors contexte à
la télévision par exemple (seul le subconscient capte les choses en les
dissociant de leur contexte ; or la conscience d'une telle opération est une
construction de raisons symboliques d'un motif réel mais non palpable, cela
s'appellerait alors de la paranoïa, et ainsi il serait risible de dire voir
de la manipulation mentale quelque part ; c'est le même système autodéfensif
en action en apparence.
Ensuite c'est logique si tous les fonctionnements se rapportant à ce qui a
été mal programmé, c'est à dire la réaction inverse locale, en particulier
ce qui touche à la capacité à confier ses émotions ou à accéder à l'image de
soi pour l'utiliser dans une opération, qui comme on le prédit aura pour
finalité subconsciente de transmettre encore cette même frustration
programmante et protectrice, au travers des actes ou non actes accomplis.
La transmission marche d'autant mieux entre être qui s'aiment, qu'elle n'a
envie d'être prononcée qu'en raison d'un acte amoureux justement ; lorsque
aimer et faire mal sont ainsi associés, cette bribe de programmation
s'applique à tout ce qui se rapporte à ce concept.
sans lien amical c'est aussi ce type de pression mentale qui agit entre
personnes travaillants dans un groupe hiérarchisé, bien souvent la manière
est plus importante que l'acte, la distinction entre le culturel et le
clinique est étroite.
La compensation offerte par le psychovirus est la raison cajolante,
l'explication, comme je l'ai dit l'apparition symbolique construite
volontairement en tirant les relationnements signifiants depuis le
subconscient comme des ficelles, pour que le conscient construise une raison
polarisante et simplificatrice, explicatrice, justificatrice, et faisant
appel à des principes déjà testés et approuvés par le psychovirus. Ainsi en
plus de se répandre et de s'appliquer conceptuellement de façon adaptive à
chaque individu, il se déploie en vigueur au fur et à mesure qu'il
s'approprie des fonctionnalités c'est à dire qu'il redéfinit des référants
mentaux selon ses besoins usuels.

Il faut noter "fragiliser le discernement" et "incapacité à moduler le
comportement" comme étroitement liés au psychovirus si par exemple il a pour
spécificité de produire des raccourcis ou des alias dans l'esprit pour
éviter des voies réflectives, en associant une grande puissance symbolique à
un fait banal qui pourtant sera utilisé comme une petite boîte à diable
bondissant avec un ressort, au moment où le subconscient veux signifier
comme dans un langage avec le conscient, le type de refus à exprimer dans
une circonstance qui est détectée favorable à la transmission du psychovirus
;
en l'occurrence dans une société ayant une "psychopatholgie globale" c'est
plus facile de faire exister et perdurer les racines sur lesquelles se
greffent les maladies mentales.
Inversement le simple fait de dire quelles sont ces racines, et la logique,
de les mettre à jour, aura pour effet de rendre illogique toute un
déploiement maladif, comme par un coup de baguette magique.
En fait en sous-jacence de la déclaration à des humains de leur maladie il y
a la théorie selon laquelle il suffit savoir expliquer exactement sa maladie
mentale à un malade pour qu'il guérisse ou au moins prenne cette voie
désormais éclairée.

textuellement :

"Ces psychovirus sont instillés pour la plupart dès l'enfance par les
géniteurs eux-mêmes qui tentent tant bien que mal d'éluder les nombreuses
questions candides de leur enfant par des réponses toutes faites ou
inventées dans l'inspiration du moment."
== "pour la plupart" de toutes façon asséner un psychovirus est transmettre
un message piégé;
== "tant bien que mal" éluder "bien" transmet une technique plus
sophistiquée et discrète seulement, un masque plus opaque de la maladie.
"mal" transmet le sentiment d'échec, ça me parait moins grace que l'usage de
l'évidence claire et limpide là où il n'y a que violence déraisonnée et
refus.
== "réponses toutes faites" la réponse toute faite signifie que la pratique
est coutumière ce qui renforce le faux fondement de crédibilité qui
accompagne la réponse inadaptée.
== le message transmit est alors le non-dit, la façon de réagir et de
répondre, autant que l'instruction de la psychoaffectivité en action, si
elle est de 1 sur une échelle de 10, alors cette information est transmise
logiquement. L'enfant, apprend de ce que les parents ne font pas exprès
d'enseigner.
Cette éducation utilise des idées toutes faites comme pour à son tour
évoquer l'enfance, est associée finalement à un sentiment plus ou moins
vendeur ou dans lequel plus de gens se reconnaissent. On retrouve les mêmes
stigmates dans l'armée que dans toute hiérarchie, la tendance à la
soumission par des explications qui sont le plus souvent insuffisantes ;
culturellement il n'y a que rarement d'explication dites par exemple pour un
licenciement, ce silence est d'une très grande violence (devrait être
considéré comme une agression psychologique).
Delà vient la démarche abrutissante vers laquelle ça conduit, l'usage hébété
de précepts seulement utilisés comme béquille à des constructions
psychologiques en réalité violentées mentalement durant l'enfance possèdera
cette double propriété abrutissante et réconfortante. Par exemple les
publicitaires ne perdraient pas à donner des ordres directs au consommateur.
Cependant les techniques peuvent être plus sournoises, c'est ce qui est dit
dans le passage; puisque le subconscient se passe de contexte, pour "lire
dans les cartes" interpréter les messages qui le touchent le plus vers
l'opération en cours qui demande le plus à être résolue.


"Le système éducatif et les médias de diffusion de l'information achèvent ce
processus qui finit par fragiliser le discernement critique de vos jeunes
pour les conformer aux idéologies erronées proférées par vos instances
politiques, économiques et religieuses."

== Comme l'application est toujours locale les différences ont entre elles
les effets excitants du psychovirus, qui s'éduque en s'activant comme
défense psychologique, autant qu'en étant renforcé par la prise de
connaissance d'un concept similaire. Déjà bien développé, la psychotie fait
que l'énervement est provoqué par l'énervement lui-même, l'intélligence
(ainsi éduquée) de l'interprétation fait que n'importe quelle irritation
peut devenir un déclencheur catalyseur d'une puissante énergie qui
semblerait vouloir se défaire de la maladie, par la mauvaise méthode que
celle-ci a enseigné à savoir l'expulsion (la seule connue maîtrisée et
répétée), ce qui finalement a la conséquence inverse de rendre beaucoup plus
de choses symptomatiques, comme si les murs se rapprochaient et que la
liberté se réduisait. Les actes sont déterministes si ils sont le fait d'une
pulsion excédant un certain seuil, alors la réaction préprogrammée est
appliquée sans condition et précipitemment. Par exemple il pourrait
apparaître une nouvelle sorte de crime, le crime spontané, sans raison
apparente.
C'est la même chose qui se passe quand une population décide communément de
faire de l'antisémistisme le socle de son existence, c'est à dire une chose
banale et évidente, un liant social, ce référant est continuellement mit en
avant comme explication, justification et blason brillant, en fait, c'est le
subconscient qui met en avant la trace de la preuve de son problème que
l'interlocuteur se voit convié à résoudre en étant provoqué à dire des
phrases paradigmatiques sous la pression. Il est certain que dans un tel cas
de démence l'exhibitionnisme est à l'opposé de l'action directe (tuer, ne
serait plus même soulageant), bien plus défoulante car stimulant les
irritations, et entraînant ainsi le psychovirus à devenir plus complexe.


"L'existence de différences parfois fondamentales entre les idéologies des
différentes nations de votre planète entraîne inévitablement des tensions
xénophobes entre les individus dues à leur seule incapacité d'accepter leurs
différences et de moduler leurs comportements en fonction d'elles."

== Et cependant des regroupements sont possible ce qui est un comble par
exemple si on ose ne pas nier l'existence de groupuscules extremistes
internationaux, comment est-il possible d'être un raciste international ?
c'est simple il suffit de trouver l'entente ou l'harmonisation entre les
maladies mentales, et d'en tirer les nouveaux précepts-Dieux-penseurs, à
leur tour nouvellement plus énergisants et radicaux, plus irritants et
pseudo-protecteurs.

"Ces virus psychologiques aboutissent, par un processus insinuant
d'apprentissage, à modifier physiologiquement des structures synaptiques en
créant et en consolidant des connexions neuronales thalamiques et
hypothalamiques ainsi qu'au niveau de certaines zones clés, en particulier
l'amygdale, le noyau accumbens, l'aqueduc de Sylvius, le septum et
l'hippocampe. Ils conditionnent lentement l'individu à agir de façon
prévisible en réponse à des stimuli remettant en cause son sentiment de
sécurité, ses convictions intimes et les préjugés inculqués à travers un
mécanisme que l'on pourrait définir comme une homéostasie psychologique.
L'argent, la religion et l'orgueil nationaliste sont sans conteste les
principaux ressorts dont usent vos dirigeants à votre encontre."

== Les stimulis entraînent des chaînes-type de réaction, parfois tellement
conglomérées et peu nombreuses qu'elles sont simplement devenues
bidimensionelles, c'est ce qui est déclaré dans la phrase : " Nous n'avons
construit aucune barrière mentale nous séparant de vous comme le bien du
mal". Les référants mentaux tout-préparés sont peu nombreux et cela signifie
qu'ils ne sont que symboliques, confus et imprécis ; qu'ils ne devraient pas
exister... (car ils devraient être construits sur mesure à la volée) C'est
pourquoi par exemple l'apprentissage d'un précept tend à le voir répété dans
de nombreuses occasions, comme dans le cas d'une paranoïa mais qui serait
cette fois "positive" du moins le fait d'un processus d'imbibation. De la
même manière à l'échelle de la civilisation les courants d'idées ne font
qu'imbiber des couches nouvelles dans la façon de penser du groupe. Si une
guerre menace le groupe à une période, il peut très bien y avoir un retour
d'angoisse de groupe, de provenance inconnue, vingt ans après.
C'est alors le piège tendu, la non raison qui appelle une raison, fiat
naitre une explication si les outils le permettent, et ces outils peuvent
précisément être des psychovirus immiscés dans le discours, c'est à dire
dans l'inconnu et ayant pour effet de cristaliser et désigner une cible de
focalisation soulageante et explicative selon l'axe conféré par l'idée
virus.
Je suis très attaché à cette échelle civilisationnelle qui ne change que peu
de l'échelle individuelle, y est étroitement connectée, et mérite plus de
concentration scientifique afin d'en extraire les phrases-magiques, si par
exemple c'est ce même thème qui est concerné finalement à chaque fois qu'il
y a guerre.

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