[DIVERS] Re: [time travel]

["cobrawalk" <cobrawalk@hotmail.com>]

----- Original Message ----- 
From: "Louys Jacques" <drjls@evc.net>
To: <ummo.open@ummo-sciences.org>
Sent: Thursday, November 04, 2004 8:23 PM
Subject: [DIVERS] Re: [time travel]


>
> -----Original Message-----
> From: "cobrawalk" <cobrawalk@hotmail.com>
> > Pour les IU ("il n'en existe pas d'isolé, ça n'a pas de sens") j'en
> > reviens
> > pour essayer de comprendre aux faisceaux non parallèles qui ne se
> > croisent
> > pas ; ces faisceaux forment un angle, c'est facile à imaginer en 3D,
> > si on
> > tourne autour cet angle diminue puis augmente de façon sinusoidal.
> ---------------
> comme je l'ai déjà indiqué, en topologie, les nouages impliquent des
"angles" entre les brins
> du noeud ( qui peut tout à fait se représenter comme un faisceau d'axes
orientés ) - c'est une
> notion de topologie et il nous manque malheureusement un topologue...
> ---------------------
> > Ensuite, là je perçois une application psy intéressante, la syzygie,
> > le
> > miroitage de deux dimensions différentes qui du coup se reflètent
> > indéfiniment, ne serait-il pas l'antre de la confusion subconsciente,
> > je
> > veux dire celle qui déplace le sens, et renvoie à la conscience ce
> > déplacement en conservant l'impulsion initiale,
> -----------
> c'est moi qui a amené ce concept de syzygie ( d'alignement ) car les
ummites évoquent la
> quadrature ( à angle droit ) des axes du temps par rapport aux axes de
l'espace
>

ui j'm bien aboutir aux conclusions pour mieux les acquérir... héhé
j'ai pensé : les faisceaux d'axes orientés, si ce sont des dimensions, alors
que notre usage est d'office de les représenter par des plans
perpendiculaires (ce qui rend logique la limite du visible à 3 plans = 3D -
d'ailleurs c'est un instinct de les représenter à 90°), on pourrait
considérer ces faisceaux comme ces dimensions, et les agencer de façon non
perpendiculaire (toujours de façon représentative, on sait qu'ils sont à
90°, mais pas forcément sur la représentation du point de vue)
ça m'amène à percevoir l'écriture cunéiforme comme des représentations de
ces combinaisons d'axes, le A serait 3D représentés sous un angle où 2 axes
font 90°, le troisième les reliant représenté à 45°, à cause de ce point de
vue dans un espace 10D ou 5D. Ainsi 3D pourraient être représentés de
multiples façons angulaires, et à chaque fois ça aurait un sens (bien qu'il
est toujours 90°, tourner autour dans une dimension ultérieur fait varier
ces angles de représentation). Le A, à l'oral, est le 90° de la machoire, et
le troisième axe serait le relationnement de ces deux axes pour les rendre
utiles, la voix (une vibration).
(ça suppose une haute science à l'époque antique, mais ça ne serait que
l'acceptation de l'intelligence humaine ; et aussi de son coté
autodestructeur capable de tout balayer pour tout recommencer)

> quadrature et syzygie forment donc une paire vibratoire - je pense que la
réduction que
> provoque la pensée est de réduire la quadrature à la syzygie, mais c'est
une intuition plus
> qu'une affirmation... l'important est de se souvenir que la pensée dégrade
la totipotence =>
> cf de nombreuses lettres sur le fonctionnement psychique

je pense que c'est déjà la syzygie qui provoque la résonnance ; que la
quadrature, c'est cette syzygie, car du coup ça aligne les autres anti-axes
: 90° et leur anti-axes (eux mêmes à 90° et non alignés en face) forment la
quadrature, le moment ultime du vibratoire (que j'image comme deux miroirs
face à face, provoquant l'infinie résonnance, sans perte).

> ----------------------------
> >
> > La principale apparition est qu'il faut encore beaucoup travailler
> > sur ce
> > concept des IU, même si aucune lettre n'en a annoncé la récompense du
> > mérite..
> --------------
> oui, ça me semble essentiel aussi - je le connais et j'en ai la pratique
comme signifiant
> inconscient mais l'idée même de la congruence avec les éléments de la
physique est
> vertigineuse....

en l'occurrence (pareil, d'instinct) j'imagine une syzygie entre temps et
espace comme un partage local des propriétés ; par exemple le temps qui se
fige (sentiment puissant, émotif ou apeurant, frontalement opposés) et
l'espace qui devient "parourable", alors qu'il n'est qu'une perception, on
peut faire de la luge sur sa courbe !
C'est alors que temps et espace sont une chose commune, mathématiquement
existante (soit la lumière).

ps : c'est pas tout de dire "que la lumière soit" !


>
> bien à vous
> jls
>
>
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